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Auktionsarchiv: Los-Nr. 148

1964 Aston Martin DB5 Chassis no. DB5/1392/L

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
293.500 €
ca. 427.384 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 148

1964 Aston Martin DB5 Chassis no. DB5/1392/L

Schätzpreis
0 €
Zuschlagspreis:
293.500 €
ca. 427.384 $
Beschreibung:

L'évolution d'Aston Martin après guerre fait un énorme pas en avant avec le lancement en 1958 de la DB4. Le dessin de Touring, mêlant sportivité et classicisme, établit pour la marque une forme immédiatement reconnaissable et qui va perdurer jusqu'aux années 1970. Le moteur est toujours un six cylindres tout alu, double arbre à cames en tête, mais l'ancienne mécanique conçue sous l'autorité de WO Bentley a cédé la place au nouveau bloc de Tadek Marek. Avec une cylindrée de 3 670 cm3, son alésage et sa course de dimensions identiques (92 mm) en font un moteur "carré". Il développe 240 ch à 5 500 tr/mn, et la boîte de vitesses David Brown offre quatre rapports synchronisés. La construction "Superleggera Touring", qui emploie une structure tubulaire légère accueillant les panneaux de carrosserie en aluminium, est incompatible avec l'ensemble multitubulaire de la DB 2/4. Harold Beach dessine donc un châssis plateforme extrêmement solide. La suspension avant indépendante de la DB 2/4, à bras tirés, laisse place à des triangles inégaux alors qu'à l'arrière, la DB4 reçoit un essieu rigide doté d'un système Watts au lieu d'une barre Panhard. Cinq séries se succèdent, alors que le modèle se métamorphose progressivement jusqu'à la DB5 de 1963. Ses phares caractéristiques, profilés sous globe, sont déjà apparus sur la DB4 GT, et la nouvelle-venue est de même dimensions que la DB4 Series V allongée. Le moteur 3 995 cm3 — vu d'abord sur la Lagonda Rapide — est relié à une boîte quatre rapports et overdrive, alors qu'une boîte ZF cinq rapports est disponible en option avant d'être fournie plus tard en série. Provenant d'une importante collection Aston Martin, cette DB5 conduite à gauche a été vendue neuve par le garage Mirabeau et a reçu sa première immatriculation le 31 janvier 1964. Cette voiture dont les numéros correspondent a toujours été entre les mains de collectionneurs français, dont le fameux architecte Fernand Tsaropoulos entre 1986 et 1998. Elle est ensuite passée chez un autre distingué collectionneur parisien, avant d'être cédée il y a quelques mois au propriétaire actuel, collectionneur important d'Aston Martin. Etant maintenant à la tête de trois DB5, il a décidé de se séparer de celle-ci. En 2004/2005, la voiture a bénéficié d'une restauration mécanique complète chez RPM à Clichy, près de Paris. Toutes les factures sont disponibles, de même qu'un ensemble de photos montrant la carrosserie déposée du châssis et séparée de sa structure en tubes. Le moteur avait déjà été restauré par le mécanicien respecté Jean Nadal (en 1985), la voiture affichant alors un kilométrage de 28 500 km. D'autres travaux importants ont été réalisés par Auto Performance, distributeur Aston Martin officiel (freins, pompe à essence, direction, démarreur, échappement, embrayage, etc) et la voiture a été entretenue par Automobiles d'Antan, à Chatillon. Munie de sa carte grise française et de son contrôle technique, cette Aston Martin châssis n°1392 représente une merveilleuse opportunité d'acquérir une des rares DB5 conduite à gauche livrée neuve en France, et bénéficiant d'un dossier de restauration bien documenté. Aston Martin's post-war evolution took a giant step forward with the launch of the DB4 in 1958. Classically proportioned, the Touring-designed body established an instantly recognisable look that would stand the marque in good stead until 1970. The engine was still an all-alloy, twin-overhead-camshaft, six but the old W O Bentley supervised 3-litre unit had been superseded by a new design by Tadek Marek. The new 3,670cc engine featured 'square' bore and stroke dimensions of 92mm, and developed its maximum power of 240bhp at 5,500rpm. The David Brown gearbox was a new four-speed all-synchromesh unit. Touring's Superleggera body construction, which employed a lightweight tubular structure to support the aluminium-alloy body panels, was deemed incompatible with the DB2/4-type multi-tubular spaceframe, so engineer Harold Beach drew up an immense

Auktionsarchiv: Los-Nr. 148
Auktion:
Datum:
26.09.2009
Auktionshaus:
Bonhams London
Reims
Beschreibung:

L'évolution d'Aston Martin après guerre fait un énorme pas en avant avec le lancement en 1958 de la DB4. Le dessin de Touring, mêlant sportivité et classicisme, établit pour la marque une forme immédiatement reconnaissable et qui va perdurer jusqu'aux années 1970. Le moteur est toujours un six cylindres tout alu, double arbre à cames en tête, mais l'ancienne mécanique conçue sous l'autorité de WO Bentley a cédé la place au nouveau bloc de Tadek Marek. Avec une cylindrée de 3 670 cm3, son alésage et sa course de dimensions identiques (92 mm) en font un moteur "carré". Il développe 240 ch à 5 500 tr/mn, et la boîte de vitesses David Brown offre quatre rapports synchronisés. La construction "Superleggera Touring", qui emploie une structure tubulaire légère accueillant les panneaux de carrosserie en aluminium, est incompatible avec l'ensemble multitubulaire de la DB 2/4. Harold Beach dessine donc un châssis plateforme extrêmement solide. La suspension avant indépendante de la DB 2/4, à bras tirés, laisse place à des triangles inégaux alors qu'à l'arrière, la DB4 reçoit un essieu rigide doté d'un système Watts au lieu d'une barre Panhard. Cinq séries se succèdent, alors que le modèle se métamorphose progressivement jusqu'à la DB5 de 1963. Ses phares caractéristiques, profilés sous globe, sont déjà apparus sur la DB4 GT, et la nouvelle-venue est de même dimensions que la DB4 Series V allongée. Le moteur 3 995 cm3 — vu d'abord sur la Lagonda Rapide — est relié à une boîte quatre rapports et overdrive, alors qu'une boîte ZF cinq rapports est disponible en option avant d'être fournie plus tard en série. Provenant d'une importante collection Aston Martin, cette DB5 conduite à gauche a été vendue neuve par le garage Mirabeau et a reçu sa première immatriculation le 31 janvier 1964. Cette voiture dont les numéros correspondent a toujours été entre les mains de collectionneurs français, dont le fameux architecte Fernand Tsaropoulos entre 1986 et 1998. Elle est ensuite passée chez un autre distingué collectionneur parisien, avant d'être cédée il y a quelques mois au propriétaire actuel, collectionneur important d'Aston Martin. Etant maintenant à la tête de trois DB5, il a décidé de se séparer de celle-ci. En 2004/2005, la voiture a bénéficié d'une restauration mécanique complète chez RPM à Clichy, près de Paris. Toutes les factures sont disponibles, de même qu'un ensemble de photos montrant la carrosserie déposée du châssis et séparée de sa structure en tubes. Le moteur avait déjà été restauré par le mécanicien respecté Jean Nadal (en 1985), la voiture affichant alors un kilométrage de 28 500 km. D'autres travaux importants ont été réalisés par Auto Performance, distributeur Aston Martin officiel (freins, pompe à essence, direction, démarreur, échappement, embrayage, etc) et la voiture a été entretenue par Automobiles d'Antan, à Chatillon. Munie de sa carte grise française et de son contrôle technique, cette Aston Martin châssis n°1392 représente une merveilleuse opportunité d'acquérir une des rares DB5 conduite à gauche livrée neuve en France, et bénéficiant d'un dossier de restauration bien documenté. Aston Martin's post-war evolution took a giant step forward with the launch of the DB4 in 1958. Classically proportioned, the Touring-designed body established an instantly recognisable look that would stand the marque in good stead until 1970. The engine was still an all-alloy, twin-overhead-camshaft, six but the old W O Bentley supervised 3-litre unit had been superseded by a new design by Tadek Marek. The new 3,670cc engine featured 'square' bore and stroke dimensions of 92mm, and developed its maximum power of 240bhp at 5,500rpm. The David Brown gearbox was a new four-speed all-synchromesh unit. Touring's Superleggera body construction, which employed a lightweight tubular structure to support the aluminium-alloy body panels, was deemed incompatible with the DB2/4-type multi-tubular spaceframe, so engineer Harold Beach drew up an immense

Auktionsarchiv: Los-Nr. 148
Auktion:
Datum:
26.09.2009
Auktionshaus:
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