1966 Matra Djet V #gallery-2 { margin:auto; } #gallery-2 .gallery-item { float:left; margin-top:10px; text-align:center; width:33%; } #gallery-2 img { border:2px solid #cfcfcf; } #gallery-2 .gallery-caption { margin-left:0; } Suite à une séparation difficile avec son associé de toujours, René Bonnet, rebondit et se lie avec Matra. Disposant d’un partenaire fort, René Bonnet va développer de nouvelles alliances, notamment avec Renault, qui lui fournira son moteur 1108 cc en lieu et place des mécaniques Panhard. Les premiers modèles imaginés par Bonnet verront vite le jour, selon un cahier ds charges bien spécifique. René Bonnet souhaite produire des véhicules sûrs, rapides, dont le développement proviendrait directement de la compétition, mais tout en utilisant des pièces de grande production, rendant la fabrication peut couteuse et permettant de proposer des prix attractifs. Pour répondre à cette attente, un premier coach sera proposé, équipé d’un moteur en position centrale arrière. Il s’agira de la première voiture de route proposée avec ce positionnement moteur, avant la DeTomaso Vallelunga ou encore la Lamborghini Miura. Conçue autour d’un châssis tubulaire et d’une carrosserie en fibre de verre, rappelant les conceptions Lotus et Alpine, René Bonnet semble suivre l’adage « Light is Right » de Colin Chapman, réutilisé par Jean Rédélé. Cependant, devant un coût de revient trop élevé pour l’assemblage du châssis ainsi pensé, René Bonnet se tournera vers le principe du châssis poutre déjà bien connu puisqu’il l’utilisait sur les DB (Deutsch et Bonnet) de compétition. La production de Djet sous l’appelation Automobiles René Bonnet s’étendra de 1962 à 1964 et 4 modèles différents seront produits durant ces deux années avec 159 modèles de Djet I, 34 modèles de Djet II, 2 modèles de Djet III et 3 modèles de Djet IV. Devant les difficultés de René Bonnet à remplir ses obligations auprès de Matra, il est décidé en 1964 de liquider la Société Automobiles René Bonnet, rebaptisée Automobiles Bonnet et placée sous la direction totale de Matra. René Bonnet est remercié, mais son fils reste cependant présent. Ce sera d’ailleurs lui, Charles Bonnet, qui mettra en place beaucoup de changement sur la Djet afin de la rendre meilleure. En 1965, sont alors présentées la Djet V, puis VS. Elles seront toujours équipées des 1108 cc Renault, développant 70 chevaux pour la V et 94 chevaux pour la VS, en faisant la Djet la plus puissante produite jusqu’alors. En 1966, Matra Bonnet dispsarait au profit de Matra Sport, et les Djet V seront rebaptisées Jet 5 alors que la VS sera remplacée par la Jet 6, équipée d’un nouveau moteur, le 1300 cc de la R8 Gordini. La Djet V/5 aura été la plus commercialisé, avec 918 exemplaires produits. Le modèle présenté est une Matra-Bonnet Djet V datant de 1966 et affichant moins de 35’000 kilomètres d’origine. Ses dossiers de suivi et d’entretien attestent de ce kilométrage et de l’originalité de son équipement. Proposé dans une très belle teinte « rouge Amarante », cette Djet est dans un très bon état d’utilisation. Ses différents propriétaires, 4 en comptant le propriétaire actuel ont pris soin de la mécanique et de son châssis. L’habitacle quant à lui a été conservé dans un état d’utilisation et se veut donc patiné. Le moteur a, quant à lui, été totalement déposé et repris afin d’obtenir un fonctionnement optimal et éviter ainsi un quelconque problème. Lors de notre essai routier, il est ressorti un très bon fonctionnement du 1108 cc d’origine Renault, qui une fois ses températures atteintes, monte aisément dans les tours et procure les sensations attendus d’un véhicule sportif d’époque. La tenue de route exemplaire du véhicule atteste du bon état des trains roulants et des suspensions qui remplissent leur rôle à la perfection. Un grand dossier de suivi accompagne le véhicule, ainsi que diverses pièces qui seront fournies au nouvel acquéreur. Notre Djet dispose également de sa carte d’identité FIV
1966 Matra Djet V #gallery-2 { margin:auto; } #gallery-2 .gallery-item { float:left; margin-top:10px; text-align:center; width:33%; } #gallery-2 img { border:2px solid #cfcfcf; } #gallery-2 .gallery-caption { margin-left:0; } Suite à une séparation difficile avec son associé de toujours, René Bonnet, rebondit et se lie avec Matra. Disposant d’un partenaire fort, René Bonnet va développer de nouvelles alliances, notamment avec Renault, qui lui fournira son moteur 1108 cc en lieu et place des mécaniques Panhard. Les premiers modèles imaginés par Bonnet verront vite le jour, selon un cahier ds charges bien spécifique. René Bonnet souhaite produire des véhicules sûrs, rapides, dont le développement proviendrait directement de la compétition, mais tout en utilisant des pièces de grande production, rendant la fabrication peut couteuse et permettant de proposer des prix attractifs. Pour répondre à cette attente, un premier coach sera proposé, équipé d’un moteur en position centrale arrière. Il s’agira de la première voiture de route proposée avec ce positionnement moteur, avant la DeTomaso Vallelunga ou encore la Lamborghini Miura. Conçue autour d’un châssis tubulaire et d’une carrosserie en fibre de verre, rappelant les conceptions Lotus et Alpine, René Bonnet semble suivre l’adage « Light is Right » de Colin Chapman, réutilisé par Jean Rédélé. Cependant, devant un coût de revient trop élevé pour l’assemblage du châssis ainsi pensé, René Bonnet se tournera vers le principe du châssis poutre déjà bien connu puisqu’il l’utilisait sur les DB (Deutsch et Bonnet) de compétition. La production de Djet sous l’appelation Automobiles René Bonnet s’étendra de 1962 à 1964 et 4 modèles différents seront produits durant ces deux années avec 159 modèles de Djet I, 34 modèles de Djet II, 2 modèles de Djet III et 3 modèles de Djet IV. Devant les difficultés de René Bonnet à remplir ses obligations auprès de Matra, il est décidé en 1964 de liquider la Société Automobiles René Bonnet, rebaptisée Automobiles Bonnet et placée sous la direction totale de Matra. René Bonnet est remercié, mais son fils reste cependant présent. Ce sera d’ailleurs lui, Charles Bonnet, qui mettra en place beaucoup de changement sur la Djet afin de la rendre meilleure. En 1965, sont alors présentées la Djet V, puis VS. Elles seront toujours équipées des 1108 cc Renault, développant 70 chevaux pour la V et 94 chevaux pour la VS, en faisant la Djet la plus puissante produite jusqu’alors. En 1966, Matra Bonnet dispsarait au profit de Matra Sport, et les Djet V seront rebaptisées Jet 5 alors que la VS sera remplacée par la Jet 6, équipée d’un nouveau moteur, le 1300 cc de la R8 Gordini. La Djet V/5 aura été la plus commercialisé, avec 918 exemplaires produits. Le modèle présenté est une Matra-Bonnet Djet V datant de 1966 et affichant moins de 35’000 kilomètres d’origine. Ses dossiers de suivi et d’entretien attestent de ce kilométrage et de l’originalité de son équipement. Proposé dans une très belle teinte « rouge Amarante », cette Djet est dans un très bon état d’utilisation. Ses différents propriétaires, 4 en comptant le propriétaire actuel ont pris soin de la mécanique et de son châssis. L’habitacle quant à lui a été conservé dans un état d’utilisation et se veut donc patiné. Le moteur a, quant à lui, été totalement déposé et repris afin d’obtenir un fonctionnement optimal et éviter ainsi un quelconque problème. Lors de notre essai routier, il est ressorti un très bon fonctionnement du 1108 cc d’origine Renault, qui une fois ses températures atteintes, monte aisément dans les tours et procure les sensations attendus d’un véhicule sportif d’époque. La tenue de route exemplaire du véhicule atteste du bon état des trains roulants et des suspensions qui remplissent leur rôle à la perfection. Un grand dossier de suivi accompagne le véhicule, ainsi que diverses pièces qui seront fournies au nouvel acquéreur. Notre Djet dispose également de sa carte d’identité FIV
Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!
Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.
Suchauftrag anlegen