Premium-Seiten ohne Registrierung:

Auktionsarchiv: Los-Nr. 98

1983 Ferrari 126 C3-068 Formule 1

Schätzpreis
600.000 € - 1.000.000 €
ca. 657.123 $ - 1.095.206 $
Zuschlagspreis:
1.438.880 €
ca. 1.575.870 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 98

1983 Ferrari 126 C3-068 Formule 1

Schätzpreis
600.000 € - 1.000.000 €
ca. 657.123 $ - 1.095.206 $
Zuschlagspreis:
1.438.880 €
ca. 1.575.870 $
Beschreibung:

1983 Ferrari 126 C3-068 Formule 1 Voiture de compétition Sans titre de circualtion Châssis n°068 - La première Formule 1 Ferrari à coque en fibre de Carbone - Incroyablement d'origine, historique limpide - A participé à la conquête du titre de Champion du Monde des Constructeurs - Dans la Collection du Manoir de l'Automobile depuis 2001 - 2ème au GP d'Autriche 1983, pilotée par René Arnoux - Championne du monde Après une saison 1982 marquée par la tragique disparition de Gilles Villeneuve et par le grave accident de Didier Pironi aux essais du Grand Prix d'Allemagne, alors qu'il pouvait légitimement revendiquer la couronne mondiale, la victoire au Championnat du Monde des Constructeurs de Formule 1 ne constituait pas une simple consolation pour Ferrari dont les drames semblaient chaque fois renforcer un peu plus la détermination et les ambitions. A l'instar de McLaren, en passe de bouleverser le paysage de la F1 avec sa MP4 dotée d'une coque entièrement en fibre de carbone, Ferrari décide de franchir le pas avec une inédite 126 C3 faisant, elle aussi, appel à cette technologie. Malheureusement, cette dernière se fera longtemps attendre. La construction d'une nouvelle unité de l'usine destinée à la réalisation de la coque carbone prendra plus de temps que prévu et la C3 n'apparaîtra qu'au mois de juillet 1983 à l'occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne. En attendant, la 126 C2, modifiée en 126 C2B, fera mieux que d'assurer un simple intérim. Toujours un peu trop lourde, mais équipée d'un V6 Turbo plutôt fiable et plus puissant de 20 ch. (580 ch), elle s'illustre en début de saison avec Patrick Tambay, qui s'impose au Grand Prix de Saint-Marin. René Arnoux, la nouvelle recrue de la Scuderia est plus long à trouver le bon rythme, même s'il peut se flatter de deux podiums et de deux pole positions. Le Grenoblois, qui a fait alors l'essentiel de sa carrière en F1 avec des monoplaces chaussées de pneus Michelin à carcasse radiale éprouve des difficultés à s'adapter aux gommes Goodyear classiques, mais à partir du mois de juin l'apprentissage est terminé. Après une nouvelle pole position à Detroit, Arnoux triomphe au Canada. C'est le prélude à un bel été marqué par deux nouvelles victoires et deux secondes places et surtout par un duel franco-français avec Alain Prost pour la quête du titre mondial. Une belle chevauchée favorisée par l'entrée en lice de la 126 C3. Quatre châssis participent au Championnat du monde à partir de juillet 1983 : #066, #067, #068 (celui de la vente) et #069. Plus légère avec sa coque carbone/kevlar, plus puissante (600 ch), la monoplace conçue sous la direction de l'ingénieur britannique Harvey Postlethwaite est immédiatement dans le coup. Et le prouve en frappant fort dès son arrivée sur la piste de Silverstone, théâtre du Grand prix de Grande Bretagne ce 16 juillet 1983. Mais si les deux voitures rouges monopolisent la première ligne sur la grille de départ (Arnoux en pole), elles ne peuvent se contenter que de places d'honneur à l'issue de la course à cause de ses pneus Goodyear, qui se dégradent au fil des tours sur des tracés rapides et sous de fortes températures. Ce sera le problème récurant de la C3. Sous une "météo plus clémente", la 126 C3 #066 va signer sa première victoire au Grand Prix d'Allemagne avec un René Arnoux intouchable, qui s'adjuge en prime le record du tour. Une semaine plus tard, en Autriche, Ferrari aligne une nouvelle coque, la 068, pour René Arnoux devenu bien davantage qu'un simple outsider au Championnat. Elle finit dans les échappements de la Renault de Prost à la 2e place du Grand prix d'Autriche et devant Nelson Piquet, dont le moteur BMW de la Brabham semble retrouver un tonus inavoué (…) au fil de la saison. Selon le livre " Ferrari, les monoplaces de Grand Prix " de Alan Henry, la #068 n'a participé qu'à ce Grand Prix, où elle termine donc à la seconde place. Quinze jours plus tard au Grand Prix des Pays-Bas, si Patrick Tambay se hisse sur la première ligne de départ

Auktionsarchiv: Los-Nr. 98
Auktion:
Datum:
07.02.2020
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
Beschreibung:

1983 Ferrari 126 C3-068 Formule 1 Voiture de compétition Sans titre de circualtion Châssis n°068 - La première Formule 1 Ferrari à coque en fibre de Carbone - Incroyablement d'origine, historique limpide - A participé à la conquête du titre de Champion du Monde des Constructeurs - Dans la Collection du Manoir de l'Automobile depuis 2001 - 2ème au GP d'Autriche 1983, pilotée par René Arnoux - Championne du monde Après une saison 1982 marquée par la tragique disparition de Gilles Villeneuve et par le grave accident de Didier Pironi aux essais du Grand Prix d'Allemagne, alors qu'il pouvait légitimement revendiquer la couronne mondiale, la victoire au Championnat du Monde des Constructeurs de Formule 1 ne constituait pas une simple consolation pour Ferrari dont les drames semblaient chaque fois renforcer un peu plus la détermination et les ambitions. A l'instar de McLaren, en passe de bouleverser le paysage de la F1 avec sa MP4 dotée d'une coque entièrement en fibre de carbone, Ferrari décide de franchir le pas avec une inédite 126 C3 faisant, elle aussi, appel à cette technologie. Malheureusement, cette dernière se fera longtemps attendre. La construction d'une nouvelle unité de l'usine destinée à la réalisation de la coque carbone prendra plus de temps que prévu et la C3 n'apparaîtra qu'au mois de juillet 1983 à l'occasion du Grand Prix de Grande-Bretagne. En attendant, la 126 C2, modifiée en 126 C2B, fera mieux que d'assurer un simple intérim. Toujours un peu trop lourde, mais équipée d'un V6 Turbo plutôt fiable et plus puissant de 20 ch. (580 ch), elle s'illustre en début de saison avec Patrick Tambay, qui s'impose au Grand Prix de Saint-Marin. René Arnoux, la nouvelle recrue de la Scuderia est plus long à trouver le bon rythme, même s'il peut se flatter de deux podiums et de deux pole positions. Le Grenoblois, qui a fait alors l'essentiel de sa carrière en F1 avec des monoplaces chaussées de pneus Michelin à carcasse radiale éprouve des difficultés à s'adapter aux gommes Goodyear classiques, mais à partir du mois de juin l'apprentissage est terminé. Après une nouvelle pole position à Detroit, Arnoux triomphe au Canada. C'est le prélude à un bel été marqué par deux nouvelles victoires et deux secondes places et surtout par un duel franco-français avec Alain Prost pour la quête du titre mondial. Une belle chevauchée favorisée par l'entrée en lice de la 126 C3. Quatre châssis participent au Championnat du monde à partir de juillet 1983 : #066, #067, #068 (celui de la vente) et #069. Plus légère avec sa coque carbone/kevlar, plus puissante (600 ch), la monoplace conçue sous la direction de l'ingénieur britannique Harvey Postlethwaite est immédiatement dans le coup. Et le prouve en frappant fort dès son arrivée sur la piste de Silverstone, théâtre du Grand prix de Grande Bretagne ce 16 juillet 1983. Mais si les deux voitures rouges monopolisent la première ligne sur la grille de départ (Arnoux en pole), elles ne peuvent se contenter que de places d'honneur à l'issue de la course à cause de ses pneus Goodyear, qui se dégradent au fil des tours sur des tracés rapides et sous de fortes températures. Ce sera le problème récurant de la C3. Sous une "météo plus clémente", la 126 C3 #066 va signer sa première victoire au Grand Prix d'Allemagne avec un René Arnoux intouchable, qui s'adjuge en prime le record du tour. Une semaine plus tard, en Autriche, Ferrari aligne une nouvelle coque, la 068, pour René Arnoux devenu bien davantage qu'un simple outsider au Championnat. Elle finit dans les échappements de la Renault de Prost à la 2e place du Grand prix d'Autriche et devant Nelson Piquet, dont le moteur BMW de la Brabham semble retrouver un tonus inavoué (…) au fil de la saison. Selon le livre " Ferrari, les monoplaces de Grand Prix " de Alan Henry, la #068 n'a participé qu'à ce Grand Prix, où elle termine donc à la seconde place. Quinze jours plus tard au Grand Prix des Pays-Bas, si Patrick Tambay se hisse sur la première ligne de départ

Auktionsarchiv: Los-Nr. 98
Auktion:
Datum:
07.02.2020
Auktionshaus:
Artcurial
7, rond-point des Champs-Élysées
75008 Paris
Frankreich
contact@artcurial.com
+33 (0)1 42992020
LotSearch ausprobieren

Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!

  • Auktionssuche und Bieten
  • Preisdatenbank und Analysen
  • Individuelle automatische Suchaufträge
Jetzt einen Suchauftrag anlegen!

Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.

Suchauftrag anlegen