*Albert SCHWEITZER (1875-1965) médecin, organiste et écrivain. L.A.S., Gunsbach 23 août 1955, à la Doctoresse Margrieta van der Kreek ; 1 page in-4, adresse (papier pelure, lég. effrang.) ; en allemand. Au nouveau chef des services médicaux de l’hôpital de Lambaréné. Il est toujours ennuyé de penser qu’elle était fatiguée et un peu triste quand il est parti. Lui-même était si occupé pendant les dernières semaines, et si affaibli par sa blessure à la cheville qu’il n’a pu lui être aussi utile qu’il aurait voulu. Mais il la croit courageuse. Cela le console. Elle trouvera en Mlle von Berck-Volkenhafen une bonne camarade : elle est un peu sourde, mais cela ne l’affaiblit pas beaucoup. Il a l’impression qu’elle convient à Lambaréné. Elle partira avec Foucauld le 30 septembre si elle obtient une cabine. Après elle, viendra la Suissesse Madeleine Beerli : elle n’est pas infirmière diplômée, mais elle comprend pas mal la médecine et elle a travaillé avec la Croix Rouge pendant la Guerre. Elle assiste Frau Martin pour quelques semaines à Gunsbach, et s’est vite acclimatée. Il ne lui dit rien de sa vie ici : c’est très difficile, parce que les gens lui demandent tant. Les mois passent vite. Bientôt il pensera à embarquer pour retourner…
*Albert SCHWEITZER (1875-1965) médecin, organiste et écrivain. L.A.S., Gunsbach 23 août 1955, à la Doctoresse Margrieta van der Kreek ; 1 page in-4, adresse (papier pelure, lég. effrang.) ; en allemand. Au nouveau chef des services médicaux de l’hôpital de Lambaréné. Il est toujours ennuyé de penser qu’elle était fatiguée et un peu triste quand il est parti. Lui-même était si occupé pendant les dernières semaines, et si affaibli par sa blessure à la cheville qu’il n’a pu lui être aussi utile qu’il aurait voulu. Mais il la croit courageuse. Cela le console. Elle trouvera en Mlle von Berck-Volkenhafen une bonne camarade : elle est un peu sourde, mais cela ne l’affaiblit pas beaucoup. Il a l’impression qu’elle convient à Lambaréné. Elle partira avec Foucauld le 30 septembre si elle obtient une cabine. Après elle, viendra la Suissesse Madeleine Beerli : elle n’est pas infirmière diplômée, mais elle comprend pas mal la médecine et elle a travaillé avec la Croix Rouge pendant la Guerre. Elle assiste Frau Martin pour quelques semaines à Gunsbach, et s’est vite acclimatée. Il ne lui dit rien de sa vie ici : c’est très difficile, parce que les gens lui demandent tant. Les mois passent vite. Bientôt il pensera à embarquer pour retourner…
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