Alexandre DUMAS. Simples lettres sur l'art dramatique.
Bruxelles, Société belge de Librairie, Hauman et Ce, 1845.
In-18, broché, couverture beige imprimée, non rogné, étiquette d'inventaire au dos.
[2] ff., 132 pp.
2ème édition (l'originale a paru en 1844 chez le même éditeur avec la même pagination). Ces cinq lettres ont d'abord paru dans La Démocratie pacifique en novembre et décembre 1844. Ce court volume n'a pas été publié en France à l'époque… où il aurait été censuré, et attendit 1874 et l'édition du Théâtre complet chez Calmann Lévy.
Sur l'état du théâtre en 1844 et violent réquisitoire contre Buloz, le directeur de la Revue des Deux-Mondes et à ce moment-là commissaire royal auprès du Théâtre-Français.
Dumas, amer, note que dans un pays les arts ne peuvent prospérer sans volonté politique : « Pour que l'art prospère […] il faut que le chef du gouvernement […] aime l'art ou fasse semblant de l'aimer ». Ce qui n'est pas le cas de Louis-Philippe qui n'a ni sympathie ni même curiosité pour le théâtre, d'où l'état pitoyable dans lequel se trouvent les deux théâtres royaux, la Comédie-Française et l'Odéon
Vicaire III, 364 qui ne l'a pas vue et qui la cite d'après Ch. Glinel, Alexandre Dumas et son œuvre, en la tenant pour l'édition originale ; Munro, 147.
Couverture légèrement poussiéreuse et défraîchie, très rares rousseurs. Bon exemplaire à l'état de parution.
Très rare pamphlet sur l'absence d'ambition culturelle de la Monarchie de Juillet
Estimation 80 - 100 €
Alexandre DUMAS. Simples lettres sur l'art dramatique.
Bruxelles, Société belge de Librairie, Hauman et Ce, 1845.
In-18, broché, couverture beige imprimée, non rogné, étiquette d'inventaire au dos.
[2] ff., 132 pp.
2ème édition (l'originale a paru en 1844 chez le même éditeur avec la même pagination). Ces cinq lettres ont d'abord paru dans La Démocratie pacifique en novembre et décembre 1844. Ce court volume n'a pas été publié en France à l'époque… où il aurait été censuré, et attendit 1874 et l'édition du Théâtre complet chez Calmann Lévy.
Sur l'état du théâtre en 1844 et violent réquisitoire contre Buloz, le directeur de la Revue des Deux-Mondes et à ce moment-là commissaire royal auprès du Théâtre-Français.
Dumas, amer, note que dans un pays les arts ne peuvent prospérer sans volonté politique : « Pour que l'art prospère […] il faut que le chef du gouvernement […] aime l'art ou fasse semblant de l'aimer ». Ce qui n'est pas le cas de Louis-Philippe qui n'a ni sympathie ni même curiosité pour le théâtre, d'où l'état pitoyable dans lequel se trouvent les deux théâtres royaux, la Comédie-Française et l'Odéon
Vicaire III, 364 qui ne l'a pas vue et qui la cite d'après Ch. Glinel, Alexandre Dumas et son œuvre, en la tenant pour l'édition originale ; Munro, 147.
Couverture légèrement poussiéreuse et défraîchie, très rares rousseurs. Bon exemplaire à l'état de parution.
Très rare pamphlet sur l'absence d'ambition culturelle de la Monarchie de Juillet
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