Carrosserie coupé, 2+2 places Moteur avant, 4 cylindres en ligne Cylindrée 1 779 cm3 Puissance 118 ch Vitesse maximale 185 km/h Kilométrage 69 372 km Numéro de série 10544 5344 Le « coupé Bertone » succède à la Giulietta Sprint, elle aus - si carrossée par Bertone, en septembre 1963 avec une élégante carrosserie signée par le nouveau styliste ve - dette de Bertone, Giorgetto Giugiaro. Il reçoit le merveilleux petit 4 cylindres à double arbre à cames en tête de la berline Giulia 1600 T.I. (pour Turismo Internazionale) tipo 105. Ce double arbre, dérivé de celui de la Giulietta, affiche une cylin - drée de 1 570 cm³ et développe 92 ch à 6 000 tr/min. Ce brillant moteur, qui prend ses tours avec facilité, invite à jouer avec la superbe boîte à cinq rapports, dont la Giulia est l’une des très rares voitures de série, en dehors des Aston Martin, Ferrari et Maserati, à être dotée à l’époque. Quant au freinage - remar - quable lui aussi dans ces années-là - il est assuré par 4 freins à disque. En mars 1966, une version Veloce est lancée au salon de Genève avec 3 ch de plus et une finition plus soignée avec des inserts de bois au tableau de bord et sur la console cen - trale et du velours sur les sièges et les panneaux des portes. On la reconnaît à sa calandre noire à trois barres horizontales et au quadrifoglio (le trèfle à quatre feuilles) au pied du mon - tant de custode. Puis, en 1968, apparaît une version 1750 GT Veloce, au salon de Bruxelles. Son nom évoque les fameuses 6C 1750 de 1929, mais sa cylindrée est en fait plus proche de 1,8 litres (1 779 cm³), obtenu par allongement simultané de la course et de l’alésage) et délivre 132 ch. On la distingue par sa nouvelle face avant à doubles phares qui abandonne la fausse entrée d’air type « boîte à lettre » à l’avant du capot, ainsi que les petits clignotants verticaux de chaque côté de la calandre, désormais positionnés sur le pare-chocs. Elle reçoit des roues de 14 pouce au lieu de 15, légèrement plus larges. Le tableau de bord est nouveau, revêtu de bois avec deux gros cadrans sous visière, façon Ferrari, ainsi que la console centrale et les sièges. En juin 1971 lui succédera la 2000 GTV. Signalons que le coupé Alfa Romeo fut soumis à des crashs tests, rarissime à l’époque. Avant l’apparition de la « série 2 » fin 1969 telle que décrite ci-dessus, Alfa Romeo produisit pendant quelques mois une version intermédiaire de la 1750 GTV qui conservait certains attributs de la première série, comme le pédalier articulé au plancher, les sièges, les pare-chocs avant et arrière, les cli - gnotants latéraux avant, tandis que d’autres éléments étaient déjà de la série 2, l’avant remanié et la boîte à air sur le côté du moteur. La voiture proposée ici est l’une de ces raretés. Elle a été livrée en septembre 1969 à Pescara, où elle a passé toute sa vie et n’a connu que deux propriétaires en 45 années. Elle possède encore ses plaques et ses papiers italiens d’origine. Sa combinaison de couleurs est rare et son intérieur (toujours d’origine) est en Vipla, une coûteuse imitation cuir qu’Alfa Romeo proposa en option à côté du TexAlfa et du cuir seule - ment jusqu’en 1969. La voiture a toujours été remisée et prati - quement laissée à l’abandon avant de subir une restauration complète qui lui a redonné tout son lustre. Les « coupés Ber - tone » sont de plus en plus recherchés et cet exemplaire singu - lier, en excellent état et à l’intéressant historique mérite une attention particulière.
Carrosserie coupé, 2+2 places Moteur avant, 4 cylindres en ligne Cylindrée 1 779 cm3 Puissance 118 ch Vitesse maximale 185 km/h Kilométrage 69 372 km Numéro de série 10544 5344 Le « coupé Bertone » succède à la Giulietta Sprint, elle aus - si carrossée par Bertone, en septembre 1963 avec une élégante carrosserie signée par le nouveau styliste ve - dette de Bertone, Giorgetto Giugiaro. Il reçoit le merveilleux petit 4 cylindres à double arbre à cames en tête de la berline Giulia 1600 T.I. (pour Turismo Internazionale) tipo 105. Ce double arbre, dérivé de celui de la Giulietta, affiche une cylin - drée de 1 570 cm³ et développe 92 ch à 6 000 tr/min. Ce brillant moteur, qui prend ses tours avec facilité, invite à jouer avec la superbe boîte à cinq rapports, dont la Giulia est l’une des très rares voitures de série, en dehors des Aston Martin, Ferrari et Maserati, à être dotée à l’époque. Quant au freinage - remar - quable lui aussi dans ces années-là - il est assuré par 4 freins à disque. En mars 1966, une version Veloce est lancée au salon de Genève avec 3 ch de plus et une finition plus soignée avec des inserts de bois au tableau de bord et sur la console cen - trale et du velours sur les sièges et les panneaux des portes. On la reconnaît à sa calandre noire à trois barres horizontales et au quadrifoglio (le trèfle à quatre feuilles) au pied du mon - tant de custode. Puis, en 1968, apparaît une version 1750 GT Veloce, au salon de Bruxelles. Son nom évoque les fameuses 6C 1750 de 1929, mais sa cylindrée est en fait plus proche de 1,8 litres (1 779 cm³), obtenu par allongement simultané de la course et de l’alésage) et délivre 132 ch. On la distingue par sa nouvelle face avant à doubles phares qui abandonne la fausse entrée d’air type « boîte à lettre » à l’avant du capot, ainsi que les petits clignotants verticaux de chaque côté de la calandre, désormais positionnés sur le pare-chocs. Elle reçoit des roues de 14 pouce au lieu de 15, légèrement plus larges. Le tableau de bord est nouveau, revêtu de bois avec deux gros cadrans sous visière, façon Ferrari, ainsi que la console centrale et les sièges. En juin 1971 lui succédera la 2000 GTV. Signalons que le coupé Alfa Romeo fut soumis à des crashs tests, rarissime à l’époque. Avant l’apparition de la « série 2 » fin 1969 telle que décrite ci-dessus, Alfa Romeo produisit pendant quelques mois une version intermédiaire de la 1750 GTV qui conservait certains attributs de la première série, comme le pédalier articulé au plancher, les sièges, les pare-chocs avant et arrière, les cli - gnotants latéraux avant, tandis que d’autres éléments étaient déjà de la série 2, l’avant remanié et la boîte à air sur le côté du moteur. La voiture proposée ici est l’une de ces raretés. Elle a été livrée en septembre 1969 à Pescara, où elle a passé toute sa vie et n’a connu que deux propriétaires en 45 années. Elle possède encore ses plaques et ses papiers italiens d’origine. Sa combinaison de couleurs est rare et son intérieur (toujours d’origine) est en Vipla, une coûteuse imitation cuir qu’Alfa Romeo proposa en option à côté du TexAlfa et du cuir seule - ment jusqu’en 1969. La voiture a toujours été remisée et prati - quement laissée à l’abandon avant de subir une restauration complète qui lui a redonné tout son lustre. Les « coupés Ber - tone » sont de plus en plus recherchés et cet exemplaire singu - lier, en excellent état et à l’intéressant historique mérite une attention particulière.
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