André JOLIVET. MANUSCRIT MUSICAL autographe signé, Rhapsodie à sept [K 206], 1957 ; 61 pages in-fol. sous chemise-titre. MANUSCRIT DE CETTE BELLE RHAPSODIE A SEPT, destinée à être jouée en même temps que l’Histoire du soldat de Stravinski, dont elle reprend l’effectif instrumental : clarinette, basson, cornet à pistons, trombone, violon, contrebasse, et une batterie très développée (cymbale suspendue, cymbale charleston, tam-tam, tambour de basque, petite et grande caisse claire, tambour militaire, grosse caisse, triangle, wood-block, 3 blocs chinois, cloche de vache, grelots). Le terme de rhapsodie renvoie, selon Jolivet, à « l’apparente liberté des lignes confiées à chaque instrument ». Elle comprend trois mouvements : I. Résolu ; II. Hiératique ; III. Incisif. L’œuvre fut créée en Allemagne au Festival de Braunschweig, le 13 novembre 1959, sous la direction de Heinz Zeebe. Le manuscrit est soigneusement noté à l’encre noire sur papier Durand à 24 lignes. Daté en fin « 24.X.57 », il porte les cachets d’enregistrement à la SACEM le 13 décembre 1957. Des annotations au crayon rouge montrent qu’il a servi de conducteur. Il a également servi à la gravure de la partition publiée aux éditions Pathé Marconi en 1959 (tampons du graveur Pierre Marcel et des éditions). Au dos du titre, Jolivet a dressé la nomenclature des instruments et leur disposition, ainsi que le minutage (environ 19 minutes). Discographie : Les Solistes de Marseille, dir. Devy Erlih (Lyrinx, 2005).
André JOLIVET. MANUSCRIT MUSICAL autographe signé, Rhapsodie à sept [K 206], 1957 ; 61 pages in-fol. sous chemise-titre. MANUSCRIT DE CETTE BELLE RHAPSODIE A SEPT, destinée à être jouée en même temps que l’Histoire du soldat de Stravinski, dont elle reprend l’effectif instrumental : clarinette, basson, cornet à pistons, trombone, violon, contrebasse, et une batterie très développée (cymbale suspendue, cymbale charleston, tam-tam, tambour de basque, petite et grande caisse claire, tambour militaire, grosse caisse, triangle, wood-block, 3 blocs chinois, cloche de vache, grelots). Le terme de rhapsodie renvoie, selon Jolivet, à « l’apparente liberté des lignes confiées à chaque instrument ». Elle comprend trois mouvements : I. Résolu ; II. Hiératique ; III. Incisif. L’œuvre fut créée en Allemagne au Festival de Braunschweig, le 13 novembre 1959, sous la direction de Heinz Zeebe. Le manuscrit est soigneusement noté à l’encre noire sur papier Durand à 24 lignes. Daté en fin « 24.X.57 », il porte les cachets d’enregistrement à la SACEM le 13 décembre 1957. Des annotations au crayon rouge montrent qu’il a servi de conducteur. Il a également servi à la gravure de la partition publiée aux éditions Pathé Marconi en 1959 (tampons du graveur Pierre Marcel et des éditions). Au dos du titre, Jolivet a dressé la nomenclature des instruments et leur disposition, ainsi que le minutage (environ 19 minutes). Discographie : Les Solistes de Marseille, dir. Devy Erlih (Lyrinx, 2005).
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