FAUNESSE À GENOUX, VERS 1890 Marbre Signé et dédicacé « Au Maître Puvis de Chavannes » sur la base Conçue en 1887, cette version en marbre a été exécutée vers 1890 Donnée par Rodin à Puvis de Chavannes probablement en août 1890 Hauteur: 55 cm Longueur: 28 cm Largeur: 24 cm (restauration) KNEELING FAUNESS, CIRCA 1890 Marble Signed and dedicated to « Au Maître Puvis de Chavannes » on the base onceived in 1887, this marble version was produced circa 1890 Given by Rodin to Puvis de Chavannes probably in August 1890 Height: 21 5/8 in. Length: 11 in. Width: 9 7/16 in. (restaured) Cette oeuvre sera incluse dans les archives du Comité Rodin en vue de la préparation du Catalogue Critique de l'OEuvre Sculpté d'Auguste Rodin actuellement en préparation sous la direction de M. Jérôme Le Blay sous le numéro d?archives 2011-3394B. Provenance: Offert par Rodin à Puvis de Chavannes en 1890 Collection Edmond Lanhoffer, France Par succession à l'actuel propriétaire Bibliographie: Georges Grappe, Catalogue du Musée Rodin, Paris, 1927, référencé sous le numéro 95 et reproduit page 41 (un exemplaire en plâtre) Robert Descharnes et Jean-François-Chabrun, Auguste Rodin Paris, 1967 reproduit page 77 (un exemplaire en bronze) Ionel Jianou and Cécile. Goldscheider, Rodin, Arted, Paris, 1967, reproduit page. 90. (un exemplaire en bronze) Ludwig Goldscheider, Rodin Sculptures, London, 1970, reproduit planche. 32 (un exemplaire en plâtre) J.L. Tancock, The Sculpture of Auguste Rodin Philadelphia, 1976, référencé sous le numéro 11 page 68 (un exemplaire en bronze reproduit page 169). Albert E. Elsen, In Rodin's Studio, Oxford, 1980, planches 97-98 (un exemplaire en plâtre) Antoinette Le Normand-Romain, Catalogue des oeuvres conservées au Musée Rodin, Edition Musée Rodin, Paris, 2007, volume II page 628(un exemplaire en bronze) Figure emblématique dans l'oeuvre de Rodin, la Faunesse à genoux, traduit magistralement la place que tient la femme dans l'imaginaire du sculpteur, à la fois inspiratrice et pécheresse, où au-delà des apparences de la femme s'étirant dans sa nudité et offrant un corps délicat se cache une créature aux traits carnassiers guettant les faiblesses de ses proies masculines. Conçue pour la Porte de l'Enfer où elle apparaît dans la partie droite du Tympan, cette pièce extraordinaire exprime tout le génie de Rodin, l'un des plus grands sculpteurs et artistes de l'histoire moderne et nous laisse pénétrer dans son univers le plus intime. La Porte de l'Enfer est l'oeuvre majeure de Rodin, son obsession, « le journal de sa vie sculptée » comme il le disait lui-même. En 1880 Rodin reçut de la direction des Beaux-Arts la commande d'une porte monumentale destinée au Musée des Arts Décoratifs dont l'emplacement retenu à l'époque correspond à celui de l'actuel Musée d'Orsay. A partir de cette date, il travailla jusqu'à la fin de sa vie, sur cette commande, acte fort de reconnaissance pour Rodin alors encore peu connu du grand public.Le thème choisi pour la Porte s'inspire de la Divine Comédie de Dante dont Rodin était un grand admirateur ayant toujours un volume de ses oeuvres avec lui. Rodin s'attèle à cette tâche avec un enthousiasme et une énergie sans limite et se focalisera sur la partie sombre de l'oeuvre, l'Enfer. Après plusieurs projets, le plâtre de l'ensemble de la Porte est moulé et monté en 1884. En 1885, Rodin fait faire des devis pour la fonte, mais la Porte ne cesse d'évoluer sans programme défini. De façon spontanée, des figures s'y ajoutent. A tel point qu'en 1888, Rodin n'en expose que des fragments à L'Exposition Universelle. En 1900, elle semble promise au nouveau Palais des Beaux-Arts, aujourd'hui Grand Palais, mais le projet n'aboutit pas non plus. Dans l'esprit de Rodin, sa Porte n'est toujours pas achevée. La même année, « cette oeuvre dont on parle chaque jour mais qu'on ne voit jamais » (Gustave Larroumet Le Figaro 12 janvier 1895) est présentée enfin au public à l'occasion de l'exposition personnelle de Rodin, place de l
FAUNESSE À GENOUX, VERS 1890 Marbre Signé et dédicacé « Au Maître Puvis de Chavannes » sur la base Conçue en 1887, cette version en marbre a été exécutée vers 1890 Donnée par Rodin à Puvis de Chavannes probablement en août 1890 Hauteur: 55 cm Longueur: 28 cm Largeur: 24 cm (restauration) KNEELING FAUNESS, CIRCA 1890 Marble Signed and dedicated to « Au Maître Puvis de Chavannes » on the base onceived in 1887, this marble version was produced circa 1890 Given by Rodin to Puvis de Chavannes probably in August 1890 Height: 21 5/8 in. Length: 11 in. Width: 9 7/16 in. (restaured) Cette oeuvre sera incluse dans les archives du Comité Rodin en vue de la préparation du Catalogue Critique de l'OEuvre Sculpté d'Auguste Rodin actuellement en préparation sous la direction de M. Jérôme Le Blay sous le numéro d?archives 2011-3394B. Provenance: Offert par Rodin à Puvis de Chavannes en 1890 Collection Edmond Lanhoffer, France Par succession à l'actuel propriétaire Bibliographie: Georges Grappe, Catalogue du Musée Rodin, Paris, 1927, référencé sous le numéro 95 et reproduit page 41 (un exemplaire en plâtre) Robert Descharnes et Jean-François-Chabrun, Auguste Rodin Paris, 1967 reproduit page 77 (un exemplaire en bronze) Ionel Jianou and Cécile. Goldscheider, Rodin, Arted, Paris, 1967, reproduit page. 90. (un exemplaire en bronze) Ludwig Goldscheider, Rodin Sculptures, London, 1970, reproduit planche. 32 (un exemplaire en plâtre) J.L. Tancock, The Sculpture of Auguste Rodin Philadelphia, 1976, référencé sous le numéro 11 page 68 (un exemplaire en bronze reproduit page 169). Albert E. Elsen, In Rodin's Studio, Oxford, 1980, planches 97-98 (un exemplaire en plâtre) Antoinette Le Normand-Romain, Catalogue des oeuvres conservées au Musée Rodin, Edition Musée Rodin, Paris, 2007, volume II page 628(un exemplaire en bronze) Figure emblématique dans l'oeuvre de Rodin, la Faunesse à genoux, traduit magistralement la place que tient la femme dans l'imaginaire du sculpteur, à la fois inspiratrice et pécheresse, où au-delà des apparences de la femme s'étirant dans sa nudité et offrant un corps délicat se cache une créature aux traits carnassiers guettant les faiblesses de ses proies masculines. Conçue pour la Porte de l'Enfer où elle apparaît dans la partie droite du Tympan, cette pièce extraordinaire exprime tout le génie de Rodin, l'un des plus grands sculpteurs et artistes de l'histoire moderne et nous laisse pénétrer dans son univers le plus intime. La Porte de l'Enfer est l'oeuvre majeure de Rodin, son obsession, « le journal de sa vie sculptée » comme il le disait lui-même. En 1880 Rodin reçut de la direction des Beaux-Arts la commande d'une porte monumentale destinée au Musée des Arts Décoratifs dont l'emplacement retenu à l'époque correspond à celui de l'actuel Musée d'Orsay. A partir de cette date, il travailla jusqu'à la fin de sa vie, sur cette commande, acte fort de reconnaissance pour Rodin alors encore peu connu du grand public.Le thème choisi pour la Porte s'inspire de la Divine Comédie de Dante dont Rodin était un grand admirateur ayant toujours un volume de ses oeuvres avec lui. Rodin s'attèle à cette tâche avec un enthousiasme et une énergie sans limite et se focalisera sur la partie sombre de l'oeuvre, l'Enfer. Après plusieurs projets, le plâtre de l'ensemble de la Porte est moulé et monté en 1884. En 1885, Rodin fait faire des devis pour la fonte, mais la Porte ne cesse d'évoluer sans programme défini. De façon spontanée, des figures s'y ajoutent. A tel point qu'en 1888, Rodin n'en expose que des fragments à L'Exposition Universelle. En 1900, elle semble promise au nouveau Palais des Beaux-Arts, aujourd'hui Grand Palais, mais le projet n'aboutit pas non plus. Dans l'esprit de Rodin, sa Porte n'est toujours pas achevée. La même année, « cette oeuvre dont on parle chaque jour mais qu'on ne voit jamais » (Gustave Larroumet Le Figaro 12 janvier 1895) est présentée enfin au public à l'occasion de l'exposition personnelle de Rodin, place de l
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