AUGUSTE SALZMANN (1824-1872) JERUSALEM. PHOTOGRAPHIES 1854 Peintre de formation et archéologue. Ce dernier métier l'amène à visiter une première fois l'Orient en 1851, Année où Maxime du Camp crée l'événement en faisant paraître son admirable album de vues d'Egypte. La photographie se révèle un auxiliaire précieux pour l'archéologie. Salzmann saisit l'importance de ce nouvel outil dont l'exactitude apporte une crédibilité scientifique. Il s'initie à la pratique dans l'atelier de Gustave Le Gray En 1853, il est chargé par le Ministère de l'Instruction Publique, d'une mission scientifique afin d'étudier les monuments construits au Moyen Orient par les chevaliers hospitaliers de l'Ordre de Saint-Jean. Salzmann en profite pour filer sur Jérusalem vérifier l'exactitude des propos de son ami Félix Caignard de Saulcy dont les dessins et la datation des vestiges archéologiques de la Ville Sainte avaient suscité l'incrédulité de ses collègues de l'Institut La campagne de prises de vues commence en décembre 1853 et se poursuivra jusqu'en juin de l'année suivante. A son retour ses négatifs au nombre de seront tirés par l'atelier photographique de Blanquart-Evrard en 1854 et publiés sous le titre : «Jérusalem, étude et reproduction photographique des monuments de la Ville Sainte, depuis l'époque judaïque jusqu'à nos jours ». De Saulcy avait raison ! Longtemps considérées comme documentaires les vues rapportées par Auguste Salzmann interpellent aujourd'hui notre regard par leur modernité. Les épreuves que nous proposons sont au nombre de 79 tirages sur papier salés d'après des négatifs papier. Titres et légendes imprimés sur les montages. Estimation
AUGUSTE SALZMANN (1824-1872) JERUSALEM. PHOTOGRAPHIES 1854 Peintre de formation et archéologue. Ce dernier métier l'amène à visiter une première fois l'Orient en 1851, Année où Maxime du Camp crée l'événement en faisant paraître son admirable album de vues d'Egypte. La photographie se révèle un auxiliaire précieux pour l'archéologie. Salzmann saisit l'importance de ce nouvel outil dont l'exactitude apporte une crédibilité scientifique. Il s'initie à la pratique dans l'atelier de Gustave Le Gray En 1853, il est chargé par le Ministère de l'Instruction Publique, d'une mission scientifique afin d'étudier les monuments construits au Moyen Orient par les chevaliers hospitaliers de l'Ordre de Saint-Jean. Salzmann en profite pour filer sur Jérusalem vérifier l'exactitude des propos de son ami Félix Caignard de Saulcy dont les dessins et la datation des vestiges archéologiques de la Ville Sainte avaient suscité l'incrédulité de ses collègues de l'Institut La campagne de prises de vues commence en décembre 1853 et se poursuivra jusqu'en juin de l'année suivante. A son retour ses négatifs au nombre de seront tirés par l'atelier photographique de Blanquart-Evrard en 1854 et publiés sous le titre : «Jérusalem, étude et reproduction photographique des monuments de la Ville Sainte, depuis l'époque judaïque jusqu'à nos jours ». De Saulcy avait raison ! Longtemps considérées comme documentaires les vues rapportées par Auguste Salzmann interpellent aujourd'hui notre regard par leur modernité. Les épreuves que nous proposons sont au nombre de 79 tirages sur papier salés d'après des négatifs papier. Titres et légendes imprimés sur les montages. Estimation
Testen Sie LotSearch und seine Premium-Features 7 Tage - ohne Kosten!
Lassen Sie sich automatisch über neue Objekte in kommenden Auktionen benachrichtigen.
Suchauftrag anlegen