Chabot, Comte Auguste de LA CHASSE DU CHEVREUIL, AVEC L’HISTORIQUE DES RACES LES PLUS CÉLÈBRES DE CHIENS COURANTS EXISTANT OU AYANT EXISTÉ EN FRANCE. PARIS, FIRMIN-DIDOT- 1879. In-4 (287 x 200 mm) de 132 pp. et 14 planches hors texte. Demi-maroquin vert avec coins, dos à nerfs décoré d’un fer « à la tête de chien » répété quatre fois, non rogné, tête dorée (reliure non signée mais réalisée à Bruxelles dans les ateliers de Samblanx-Weckesser). Dos passé. Édition originale, tirée à 300 exemplaires. Orné de 14 planches : 12 photographies contrecollées sur papier fort, hors texte et sous serpentes imprimées (l’équipage à cheval et les chiens), et 2 planches gravées sur bois comprises dans la pagination (têtes de brocards et traces de pied de chevreuil). Fervent légitimiste, Auguste de Chabot (1825-1911), maître d’équipage au Parc Soubise depuis 1845, ne pouvait accepter que le traité de Bellier de Villiers intitulé Les Déduits de la chasse du chevreuil (voir n° 16) soit dédié au comte de Paris ; il décida donc d’écrire cet ouvrage sur La Chasse du chevreuil, qu’il dédia au comte de Chambord. En vrai veneur, soucieux de se fier « plus encore à la finesse de nez de [ses] bons chiens qu’à [sa] propre science », le comte de Chabot travailla à l’amélioration de son chenil. Selon la notice de Deux siècles de vénerie, il « fut un des veneurs qui ont poussé le plus loin l’art de la chasse et de l’élevage ; ses jugements faisaient autorité… [Il] fut en outre, un excellent écrivain cynégétique et a laissé des ouvrages remarqués… À sa mort, il était le doyen de la vénerie française et l’une de ses figures les plus illustres et les plus sympathiques ; en lui se retrouvaient les traditions de la vieille vénerie et la courtoisie des grands seigneurs… » (cf. Librairie Montbel, notice pour la réédition de Quelques souvenirs d’un veneur). Références : Thiébaud, 161. – Souhart, 92. – Schwerdt, I, 102.
Chabot, Comte Auguste de LA CHASSE DU CHEVREUIL, AVEC L’HISTORIQUE DES RACES LES PLUS CÉLÈBRES DE CHIENS COURANTS EXISTANT OU AYANT EXISTÉ EN FRANCE. PARIS, FIRMIN-DIDOT- 1879. In-4 (287 x 200 mm) de 132 pp. et 14 planches hors texte. Demi-maroquin vert avec coins, dos à nerfs décoré d’un fer « à la tête de chien » répété quatre fois, non rogné, tête dorée (reliure non signée mais réalisée à Bruxelles dans les ateliers de Samblanx-Weckesser). Dos passé. Édition originale, tirée à 300 exemplaires. Orné de 14 planches : 12 photographies contrecollées sur papier fort, hors texte et sous serpentes imprimées (l’équipage à cheval et les chiens), et 2 planches gravées sur bois comprises dans la pagination (têtes de brocards et traces de pied de chevreuil). Fervent légitimiste, Auguste de Chabot (1825-1911), maître d’équipage au Parc Soubise depuis 1845, ne pouvait accepter que le traité de Bellier de Villiers intitulé Les Déduits de la chasse du chevreuil (voir n° 16) soit dédié au comte de Paris ; il décida donc d’écrire cet ouvrage sur La Chasse du chevreuil, qu’il dédia au comte de Chambord. En vrai veneur, soucieux de se fier « plus encore à la finesse de nez de [ses] bons chiens qu’à [sa] propre science », le comte de Chabot travailla à l’amélioration de son chenil. Selon la notice de Deux siècles de vénerie, il « fut un des veneurs qui ont poussé le plus loin l’art de la chasse et de l’élevage ; ses jugements faisaient autorité… [Il] fut en outre, un excellent écrivain cynégétique et a laissé des ouvrages remarqués… À sa mort, il était le doyen de la vénerie française et l’une de ses figures les plus illustres et les plus sympathiques ; en lui se retrouvaient les traditions de la vieille vénerie et la courtoisie des grands seigneurs… » (cf. Librairie Montbel, notice pour la réédition de Quelques souvenirs d’un veneur). Références : Thiébaud, 161. – Souhart, 92. – Schwerdt, I, 102.
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