La disgrâce d'Amann Sur sa toile d'origine (Coller & Vormals). Signé et daté en bas à gauche Eduard von ENGERTH / 1842 136,5 x 163,5 cm La disgrâce d'Amann est un récit biblique issu du Livre d'Esther. Grand vizir sous le règne du roi perse Assuréus, Amann fomenta le projet d'éliminer tous les Juifs de l'Empire en faisant signer au roi un décret ordonnant leur extermination. La reine Esther avertie par son oncle Mardochée, invita le roi et Amann à un banquet. Ce dernier devant le refus de Mardochée à se prosterner devant lui, décida de le faire pendre. Pendant le banquet la reine dévoila sa judéité et dénonça le complot visant à anéantir ses sujets juifs et demanda la vie sauve pour elle-même et les siens. Notre tableau représente la scène où le roi Assuréus, croyant qu'Amann menaçait la reine, ordonne sa pendaison à la potence initialement prévue pour Mardochée. Peintre d'histoire, Edmond Von Engerth se forma à l'Académie des Beaux-Arts de Vienne et obtint le Grand Prix en 1845. Il y devint professeur en 1865 et en 1871 fut nommé conservateur de la Galerie du Belvédère. En 1874, il fut recteur de l'Académie
La disgrâce d'Amann Sur sa toile d'origine (Coller & Vormals). Signé et daté en bas à gauche Eduard von ENGERTH / 1842 136,5 x 163,5 cm La disgrâce d'Amann est un récit biblique issu du Livre d'Esther. Grand vizir sous le règne du roi perse Assuréus, Amann fomenta le projet d'éliminer tous les Juifs de l'Empire en faisant signer au roi un décret ordonnant leur extermination. La reine Esther avertie par son oncle Mardochée, invita le roi et Amann à un banquet. Ce dernier devant le refus de Mardochée à se prosterner devant lui, décida de le faire pendre. Pendant le banquet la reine dévoila sa judéité et dénonça le complot visant à anéantir ses sujets juifs et demanda la vie sauve pour elle-même et les siens. Notre tableau représente la scène où le roi Assuréus, croyant qu'Amann menaçait la reine, ordonne sa pendaison à la potence initialement prévue pour Mardochée. Peintre d'histoire, Edmond Von Engerth se forma à l'Académie des Beaux-Arts de Vienne et obtint le Grand Prix en 1845. Il y devint professeur en 1865 et en 1871 fut nommé conservateur de la Galerie du Belvédère. En 1874, il fut recteur de l'Académie
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