FARGUE (Léon-Paul). Tancrède. Paris, s.n., 1911. In-8, broché. Édition originale du premier recueil de Léon-Paul Fargue. Tirage à 212 exemplaires numérotés, celui-ci un des 200 sur vergé d'Arches, bien complet du chapitre « La Première vie de Tancrède ». Parus en 1895 dans le supplément français de la revue allemande Pan, ces textes en vers et en prose furent publiés à l'insu de l'auteur par un ami, le « riche amateur » Valery Larbaud. Ce charmant épisode d’amitié littéraire demeure peu connu. Envoi autographe signé de Léon-Paul Fargue à Berthe Lemarié (1872-1948), collaboratrice des éditions de la N.R.F. La dédicace est suivie de cette mention autographe, qui éclaire le chapitre « Histoire de cette femme, ou les fous » : Fanny Zaëssinger... Ce nom là ne vous dit rien sans doute, ma chère amie ? Il éclairait tout un petit cercle de lampe qui tournait de table en table au café de la Nouvelle-Athènes, à Montmartre, de 1894 à 1897. On y voyait Jean de Tinan, Pierre Louys Maxime Dethomas Henry Levey, Francis Jourdain Léon-Paul Fargue. Une note inscrite à la verticale et paraphée précise : Il existe un poëme de lord Alfred Douglas dédié à Fanny Zaëssinger. L'exemplaire comporte, en outre, quatre corrections autographes aux pp. 11, 23, 24, 47. Dos légèrement jauni, courte fente à une charnière.
FARGUE (Léon-Paul). Tancrède. Paris, s.n., 1911. In-8, broché. Édition originale du premier recueil de Léon-Paul Fargue. Tirage à 212 exemplaires numérotés, celui-ci un des 200 sur vergé d'Arches, bien complet du chapitre « La Première vie de Tancrède ». Parus en 1895 dans le supplément français de la revue allemande Pan, ces textes en vers et en prose furent publiés à l'insu de l'auteur par un ami, le « riche amateur » Valery Larbaud. Ce charmant épisode d’amitié littéraire demeure peu connu. Envoi autographe signé de Léon-Paul Fargue à Berthe Lemarié (1872-1948), collaboratrice des éditions de la N.R.F. La dédicace est suivie de cette mention autographe, qui éclaire le chapitre « Histoire de cette femme, ou les fous » : Fanny Zaëssinger... Ce nom là ne vous dit rien sans doute, ma chère amie ? Il éclairait tout un petit cercle de lampe qui tournait de table en table au café de la Nouvelle-Athènes, à Montmartre, de 1894 à 1897. On y voyait Jean de Tinan, Pierre Louys Maxime Dethomas Henry Levey, Francis Jourdain Léon-Paul Fargue. Une note inscrite à la verticale et paraphée précise : Il existe un poëme de lord Alfred Douglas dédié à Fanny Zaëssinger. L'exemplaire comporte, en outre, quatre corrections autographes aux pp. 11, 23, 24, 47. Dos légèrement jauni, courte fente à une charnière.
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