Henri Delavallée (1862-1943) Les Chênes têtards (Bretagne). 1892-1893. Vernis mou sur zinc. 290 x 195. Morane 49. Bonne épreuve sur vergé crème, fortement insolée, annotée au crayon « 1er Etat 1re ep. nature » et signée. Fortes rousseurs. Petites marges. Timbre R. T. Joint : La Rue du hameau Lefèvre à Landemer. 1891. Eau-forte, vernis mou et aquatinte. 315 x 265. Morane 12. Très belle épreuve sur vergé crème, annotée en bas au crayon dans le sujet « Etat unique » et signée. Rousseurs claires. Pli souple oblique médian. Toutes marges. Tirage à 50 épreuves. Timbre R. T. Ens. 2 p. « L'emploi du vernis mou permet ici à Henri Delavallée de moduler les volumes et de graduer les différents plans. L’utilisation du zinc renforce encore cette impression de mollesse et explique l’effet de brume qui provient d’un essuyage médiocre. Les chênes têtards ont intéressé les artistes de l’Ecole de Pont-Aven : on retrouve les formes tournoyantes de leurs branches rabougries chez Roderic O’Conor, par exemple (Les Grands arbres) ; Chênes têtards a été présenté, sous le numéro 148, à la cinquième exposition des Peintres-Graveurs du 7 au 28 avril 1893. » (M. Grivel, dir., Gauguin et l’École de Pont-Aven, catalogue d’exposition, Paris, Bibliothèque nationale, 1989, p. 58).
Henri Delavallée (1862-1943) Les Chênes têtards (Bretagne). 1892-1893. Vernis mou sur zinc. 290 x 195. Morane 49. Bonne épreuve sur vergé crème, fortement insolée, annotée au crayon « 1er Etat 1re ep. nature » et signée. Fortes rousseurs. Petites marges. Timbre R. T. Joint : La Rue du hameau Lefèvre à Landemer. 1891. Eau-forte, vernis mou et aquatinte. 315 x 265. Morane 12. Très belle épreuve sur vergé crème, annotée en bas au crayon dans le sujet « Etat unique » et signée. Rousseurs claires. Pli souple oblique médian. Toutes marges. Tirage à 50 épreuves. Timbre R. T. Ens. 2 p. « L'emploi du vernis mou permet ici à Henri Delavallée de moduler les volumes et de graduer les différents plans. L’utilisation du zinc renforce encore cette impression de mollesse et explique l’effet de brume qui provient d’un essuyage médiocre. Les chênes têtards ont intéressé les artistes de l’Ecole de Pont-Aven : on retrouve les formes tournoyantes de leurs branches rabougries chez Roderic O’Conor, par exemple (Les Grands arbres) ; Chênes têtards a été présenté, sous le numéro 148, à la cinquième exposition des Peintres-Graveurs du 7 au 28 avril 1893. » (M. Grivel, dir., Gauguin et l’École de Pont-Aven, catalogue d’exposition, Paris, Bibliothèque nationale, 1989, p. 58).
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