Jean-Baptiste Antoine Alary (1811-1899) et Julie Geiser (1808-1874) Portrait du Grand Serpent du desert, Bou-Aziz ben Ganah, cheik-el-arab, vers 1860 Epreuve albuminee, 207x162 mm, tampon bleu Alary & Cie, legende a lfencre sur le montage Dfabord instituteur primaire p Dausse, il debarque en Algerie en 1847 pour sfinstaller comme encadreur-doreur. Il y rencontre un daguerreotypiste du nom de Delemotte, dejp installe p Alger et qui va l'initier aux techniques photographiques. Alary poursuivra seul un travail photographique p Alger, realisant des negatifs sur papier puis sur verre. Plusieurs de ses vues circulent en France par lfintermediaire du photographe Charles Marville qui appose son timbre sur les feuilles de montage. En 1852, Alary fait la rencontre et sfassocie a la Jeune veuve d'un horloger suisse. Julie Geiser etait arrivee peu avant en 1850 de la Chaux-de-fonds avec son mari et leurs trois jeunes fils, Louis-Frederic (1841-1870), Lucien-James (1843-1872) et Jean (1848-1923). Aidee de toute sa nouvelle famille, Alary cree vers 1854 un studio de photographie, et utilisant tour a tour le nom francais dfAlary ou celui suissse de Geiser, le studio Alary-Geiser se fait remarquer p lfexposition de la Societe francaise de photographie en 1857 avec un panorama de deux metres du port dfAlger et p Berne la meme annee 1857 et y obtiennent un reel succes, recompense par une medaille dfargent delivree a Julie Geiser : y sont exposes un á grand panorama d'Alger â et 18 feuilles de differentes tailles, de groupes, paysages et batiments. En 1858, il expose p la London Photographic Society des vues dfAlgerie dont le panorama en huit parties. En 1868, il passe la main aux trois fils de Julie Geiser, et Jean Geiser prend la direction du studio sous l'enseigne á Geiser freres successeurs â pour devenir le celebre photographe de lfAlger de la fin du XIXe siecle et des annees folles, a la biographie desormais bien etablie.
Jean-Baptiste Antoine Alary (1811-1899) et Julie Geiser (1808-1874) Portrait du Grand Serpent du desert, Bou-Aziz ben Ganah, cheik-el-arab, vers 1860 Epreuve albuminee, 207x162 mm, tampon bleu Alary & Cie, legende a lfencre sur le montage Dfabord instituteur primaire p Dausse, il debarque en Algerie en 1847 pour sfinstaller comme encadreur-doreur. Il y rencontre un daguerreotypiste du nom de Delemotte, dejp installe p Alger et qui va l'initier aux techniques photographiques. Alary poursuivra seul un travail photographique p Alger, realisant des negatifs sur papier puis sur verre. Plusieurs de ses vues circulent en France par lfintermediaire du photographe Charles Marville qui appose son timbre sur les feuilles de montage. En 1852, Alary fait la rencontre et sfassocie a la Jeune veuve d'un horloger suisse. Julie Geiser etait arrivee peu avant en 1850 de la Chaux-de-fonds avec son mari et leurs trois jeunes fils, Louis-Frederic (1841-1870), Lucien-James (1843-1872) et Jean (1848-1923). Aidee de toute sa nouvelle famille, Alary cree vers 1854 un studio de photographie, et utilisant tour a tour le nom francais dfAlary ou celui suissse de Geiser, le studio Alary-Geiser se fait remarquer p lfexposition de la Societe francaise de photographie en 1857 avec un panorama de deux metres du port dfAlger et p Berne la meme annee 1857 et y obtiennent un reel succes, recompense par une medaille dfargent delivree a Julie Geiser : y sont exposes un á grand panorama d'Alger â et 18 feuilles de differentes tailles, de groupes, paysages et batiments. En 1858, il expose p la London Photographic Society des vues dfAlgerie dont le panorama en huit parties. En 1868, il passe la main aux trois fils de Julie Geiser, et Jean Geiser prend la direction du studio sous l'enseigne á Geiser freres successeurs â pour devenir le celebre photographe de lfAlger de la fin du XIXe siecle et des annees folles, a la biographie desormais bien etablie.
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