Jean Cocteau (1889-1955). Le Requiem . Paris : NRF, 23 mai 1962. Grand in-8 (237 x 185 mm). Broché. Provenance : Georges Hugnet (envoi). ÉDITION ORIGINALE. Exemplaire du service de presse portant sur le faux-titre un ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ DE COCTEAU : "à mon cher Georges Hugnet et aux siens, ce fleuve intemporel, de tout cœur, Jean" (avec son étoile). Georges Hugnet y a glissé, en les datant à la main (juin 1962), deux coupures de presse évoquant Cocteau à l'occasion de la parution de ce volume. [ On joint :] Jean Cocteau 6 lettres autographes signées adressées à Georges Hugnet Entre le 3 août 1953 et le 15 février 1961. Régulièrement souffrant, Cocteau écrit de ses nouvelles à son ami et l'assure de son affection. La lettre du 20 novembre 1955 évoque le portrait qu'il a réalisé de Hugnet : "Me voilà malade [...] Impossible d'écrire. Mon seul travail aura été ton portrait et par miracle il m'est venu un éclairage mystérieux, céleste - celui des bulles de savon et des rêves. Je n'y touche plus. Prends garde - cette chance pourrait s'évanouir par un souffle. Il faut mettre sous verre et laisser un millimètre entre le verre et la toile". Le 7 décembre 1957 : "Bronchite et Mourlot combinés [l]e privent de la joie d'être en famille avec vous tous..."
Jean Cocteau (1889-1955). Le Requiem . Paris : NRF, 23 mai 1962. Grand in-8 (237 x 185 mm). Broché. Provenance : Georges Hugnet (envoi). ÉDITION ORIGINALE. Exemplaire du service de presse portant sur le faux-titre un ENVOI AUTOGRAPHE SIGNÉ DE COCTEAU : "à mon cher Georges Hugnet et aux siens, ce fleuve intemporel, de tout cœur, Jean" (avec son étoile). Georges Hugnet y a glissé, en les datant à la main (juin 1962), deux coupures de presse évoquant Cocteau à l'occasion de la parution de ce volume. [ On joint :] Jean Cocteau 6 lettres autographes signées adressées à Georges Hugnet Entre le 3 août 1953 et le 15 février 1961. Régulièrement souffrant, Cocteau écrit de ses nouvelles à son ami et l'assure de son affection. La lettre du 20 novembre 1955 évoque le portrait qu'il a réalisé de Hugnet : "Me voilà malade [...] Impossible d'écrire. Mon seul travail aura été ton portrait et par miracle il m'est venu un éclairage mystérieux, céleste - celui des bulles de savon et des rêves. Je n'y touche plus. Prends garde - cette chance pourrait s'évanouir par un souffle. Il faut mettre sous verre et laisser un millimètre entre le verre et la toile". Le 7 décembre 1957 : "Bronchite et Mourlot combinés [l]e privent de la joie d'être en famille avec vous tous..."
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