Châssis n° AM117 49 568 •Entièrement d'origine et « comme neuve » •Séduisante version 4, 9 litres, la plus puissante •Numéros et couleurs tous concordants •Environ 2 700 miles (approximativement 4 300 kilomètres) qu'on estime d'origine •Dernière révision en 2013 (pour un coût 25 000 $) « Pour celui qui veut le denier cri en matière de sportive, une machine à moteur central est essentielle. Les monoplaces de compétition ayant adopté cette configuration, les voitures à moteur central ont donc raison ! « Il est intéressant de noter que la fameuse firme Maserati qui avait tendance à se montrer très conservatrice ces dernières années, dispose désormais d'un coupé à moteur central innovant sur le marché. » – John Bolster, Autosport. La vedette du Salon de Genève 1971 fut incontestablement la nouvelle et sensationnelle Maserati Bora. Avec la présentation de la Bora, le grand constructeur de Modène emboîtait le pas des autres constructeurs de supercars en adoptant le moteur central et en abandonnant simultanément le traditionnel châssis tubulaire en faveur d'une construction monocoque. Baptisée du nom d'un vent de l'Adriatique, la Bora était l'œuvre du studio de style de Giorgetto Giugiaro, Ital Design, du moins en ce qui concerne sa carrosserie. Le moteur central était le V8 quatre arbres bien connu dans sa version 4, 7 litres, la boîte transaxle à cinq rapports venait de chez ZF et la suspension indépendante par triangles aux quatre roues était signée Giulio Alfieri, un des créateurs de la monoplace 250 F de Formule 1. La Bora, un des premiers modèles de la nouvelle génération après le rachat de Maserati par Citroën, faisait appel à la technologie hydraulique de Citroën pour le réglage des sièges et du pédalier, pour les phares escamotables et pour les excellents freins assistés. Une ligne fluide et 310 ch en faisaient une voiture rapide – sa vitesse de pointe atteignait 258 km/h – et les accélérations, la tenue de route et le freinage de la Bora étaient à l'avenant. En janvier 1976, la direction de Maserati avait apparemment envisagé d'arrêter la production de la Bora, mais plus tard dans l'année décida de la prolonger avec son moteur V8 porté à 4, 9 litres. Au total, seulement 25 Bora furent construites cette année-là et la production totale de 1971 à 1978 fut de seulement 564 voitures. Le modèle fut abandonné en 1979. Le magazine Motor concluait son essai de mars 1973 par ces mots : « La Bora nous a impressionné, c'est à notre avis l'une des meilleures et des plus civilisées sportives à moteur central que nous ayons essayées, mieux conçues que beaucoup de ses concurrentes et extrêmement gratifiante à conduire, notamment sur les petites routes ». Que peut demander de plus le passionné ? La Bora est une vraie supercar à tout point de vue, hier comme aujourd'hui. Expédiée neuve aux Etats-Unis, ce séduisant exemplaire de 4, 9 litres a été livré par Grossman Motor Car Corporation à West Nyack, dans l'état de New York à son premier propriétaire, M. Gerald Lustig, le 11 octobre 1973. M. Lustig a gardé la Maserati jusqu'en 2001, lorsqu'elle fut achetée par le collectionneur, Carl Lopp, qui la garda jusqu'en 2013. Le propriétaire suivant commanda au spécialiste de la marque, Auto Turismo Sport de New Milford, dans le Connecticut, de procéder à une rénovation complète pour la présenter dans des concours d'élégance. Terminés vers la fin de 2013, ces travaux intensifs incluent le remplacement des canalisations du système de refroidissement, le circuit hydraulique des freins et le système d'échappement. Les factures (pour 25 000 $) figurent au dossier et la voiture est également vendue avec son manuel d'instruction Maserati d'origine, sa carte de garantie, son carnet d'entretien, ses outils et un registre d'entretien de 1973 à aujourd'hui. Le dossier comprend même une carte de visite du Grossman Motor Group et le mode d'emploi de la radio ainsi qu'un pile Varta ! Importée aux Pays-bas en 2016, cette superbe Bora a parcouru environ 2 700 miles
Châssis n° AM117 49 568 •Entièrement d'origine et « comme neuve » •Séduisante version 4, 9 litres, la plus puissante •Numéros et couleurs tous concordants •Environ 2 700 miles (approximativement 4 300 kilomètres) qu'on estime d'origine •Dernière révision en 2013 (pour un coût 25 000 $) « Pour celui qui veut le denier cri en matière de sportive, une machine à moteur central est essentielle. Les monoplaces de compétition ayant adopté cette configuration, les voitures à moteur central ont donc raison ! « Il est intéressant de noter que la fameuse firme Maserati qui avait tendance à se montrer très conservatrice ces dernières années, dispose désormais d'un coupé à moteur central innovant sur le marché. » – John Bolster, Autosport. La vedette du Salon de Genève 1971 fut incontestablement la nouvelle et sensationnelle Maserati Bora. Avec la présentation de la Bora, le grand constructeur de Modène emboîtait le pas des autres constructeurs de supercars en adoptant le moteur central et en abandonnant simultanément le traditionnel châssis tubulaire en faveur d'une construction monocoque. Baptisée du nom d'un vent de l'Adriatique, la Bora était l'œuvre du studio de style de Giorgetto Giugiaro, Ital Design, du moins en ce qui concerne sa carrosserie. Le moteur central était le V8 quatre arbres bien connu dans sa version 4, 7 litres, la boîte transaxle à cinq rapports venait de chez ZF et la suspension indépendante par triangles aux quatre roues était signée Giulio Alfieri, un des créateurs de la monoplace 250 F de Formule 1. La Bora, un des premiers modèles de la nouvelle génération après le rachat de Maserati par Citroën, faisait appel à la technologie hydraulique de Citroën pour le réglage des sièges et du pédalier, pour les phares escamotables et pour les excellents freins assistés. Une ligne fluide et 310 ch en faisaient une voiture rapide – sa vitesse de pointe atteignait 258 km/h – et les accélérations, la tenue de route et le freinage de la Bora étaient à l'avenant. En janvier 1976, la direction de Maserati avait apparemment envisagé d'arrêter la production de la Bora, mais plus tard dans l'année décida de la prolonger avec son moteur V8 porté à 4, 9 litres. Au total, seulement 25 Bora furent construites cette année-là et la production totale de 1971 à 1978 fut de seulement 564 voitures. Le modèle fut abandonné en 1979. Le magazine Motor concluait son essai de mars 1973 par ces mots : « La Bora nous a impressionné, c'est à notre avis l'une des meilleures et des plus civilisées sportives à moteur central que nous ayons essayées, mieux conçues que beaucoup de ses concurrentes et extrêmement gratifiante à conduire, notamment sur les petites routes ». Que peut demander de plus le passionné ? La Bora est une vraie supercar à tout point de vue, hier comme aujourd'hui. Expédiée neuve aux Etats-Unis, ce séduisant exemplaire de 4, 9 litres a été livré par Grossman Motor Car Corporation à West Nyack, dans l'état de New York à son premier propriétaire, M. Gerald Lustig, le 11 octobre 1973. M. Lustig a gardé la Maserati jusqu'en 2001, lorsqu'elle fut achetée par le collectionneur, Carl Lopp, qui la garda jusqu'en 2013. Le propriétaire suivant commanda au spécialiste de la marque, Auto Turismo Sport de New Milford, dans le Connecticut, de procéder à une rénovation complète pour la présenter dans des concours d'élégance. Terminés vers la fin de 2013, ces travaux intensifs incluent le remplacement des canalisations du système de refroidissement, le circuit hydraulique des freins et le système d'échappement. Les factures (pour 25 000 $) figurent au dossier et la voiture est également vendue avec son manuel d'instruction Maserati d'origine, sa carte de garantie, son carnet d'entretien, ses outils et un registre d'entretien de 1973 à aujourd'hui. Le dossier comprend même une carte de visite du Grossman Motor Group et le mode d'emploi de la radio ainsi qu'un pile Varta ! Importée aux Pays-bas en 2016, cette superbe Bora a parcouru environ 2 700 miles
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