[MONET].- LEFEVRE (Marie Ernest) Réunion de 11 lettres autographes signées à Claude Monet Paris, 8 mai 1888-8 mai 1895 et s. d. 33 p. sur 3 ff. simples et 8 doubles ff. in-12 (dimensions diverses). Intéressante correspondance de Marie Ernest Lefèvre, épouse d'Ernest Lefèvre, neveu d'Auguste Vacquerie. Dans une lettre du 25 janvier 1888, Marie Ernest Lefèvre fait part à Claude Monet de son enchantement après l'exposition de ses œuvres chez Goupil : " nous en sommes revenus enchantés ravis et pleins d'admiration pour ces merveilles de lumière et de transparence " (lettre du 25 janvier 1888). Elle évoque ensuite les soins qu'elle apporte à Auguste Vacquerie : " Je suis ensuite revenue très vite à Paris, car Monsieur Vacquerie y était seul, et que ma présence auprès de lui constitue mon plus impérieux devoir " (lettre du 28 novembre). Le 2 juin, elle accepte l'invitation de Monet de passer quelques jours à Giverny : " Dites à votre femme quel plaisir j'aurai à la revoir et à faire plus ample connaissance avec elle. " JOINTS - HERVIEU (Paul). Réunion de 2 billets autographes signées à Claude Monet Paris, 29 novembre 1887 et Paris, 26 novembre 1888. 2 p. et demi sur 2 f. in-12 (15,5 x 9,8 cm). Dans ces deux missives, il est question d'Octave Mirbeau. Paul Hervieu convie Claude Monet à se joindre à un dîner qu'il organise, aux côtés d'Octave Mirbeau (LAS du 29 novembre 1887). Dans la seconde, datée du 26 novembre 1888, Paul Hervieu communique à Monet l'adresse de Maurice Bouchor, avant de s'attarder quelques instants sur le prochain voyage de Mirbeau : " Mirbeau a quitté Paris hier soir pour Kerisper, d'où il doit repartir sans retard pour aller vous trouver. " - GÉMIER (Firmin). Lettre autographe signée à Claude Monet Paris, 14 mai [1899 ?] 2 p. et demi sur 1 double f. in-12 (15,7 x 13,8 cm). Firmin Gémier s'associe à Gustave Geffroy pour remercier chaleureusement Claude Monet du don d'une de ses peintures au profit d'une tombola qu'il va organiser prochainement : " Je tiens à vous répéter qu'il s'agit d'une tombola (et non d'une vente) dont les lots ne sont exclusivement que des œuvres d'art. " - FAURE (Élie). Lettre autographe signée à Claude Monet Paris, 5 novembre 1921. 2 p. sur 1 f. in-4 (26 x 21 cm). Il remercie Claude Monet de sa bienveillante donation au profit du peintre Francisco Iturrino alors en prise avec de grandes difficultés financières, suite à l'amputation d'une de ses jambes en 1921. Elie Faure décide alors d'organiser une tombola et fait appel à des nombreux artistes afin qu'ils lui confient des œuvres à mettre en vente. N'en ayant plus à donner, Monet choisit néanmoins d'offrir la somme de 1 000 francs au peintre espagnol. Elie Faure le " remercie du fond du cœur de [sa] généreuse offrande " et lui demande d'accepter que son nom figure à la liste des généreux bienfaiteurs : " il ne s'agit pas d'honorer Claude Monet qui n'en a pas besoin. Il s'agit de sauver un homme qui se noie et le nom de Claude Monet nous est bien utile. " - JOURDAIN (Frantz). Lettre autographe signée à Claude Monet S. l., 22 février 1920. 1 p. et demi sur 1 double f. in-12 (20,9 x 13,5 cm). Monet a fait parvenir à Frantz Jourdain l'une de ses œuvres. Frantz Jourdain exprime sa profonde gratitude et renouvelle avec une sincère émotion son admiration pour le peintre : " Je vous dois les meilleurs jours de ma vie, et en regardant cette toile si pleine de puissance et de jeunesse que vous nous avez envoyée, j'ai retrouvé éternellement vivante l'admiration de ma jeunesse pour le plus grand peintre de ma génération. " - LEROLLE (Henry). Lettre autographe signée du musicien, peintre et collectionneur Henry Lerolle à Claude Monet Paris, 15 octobre 1920. 1 p. sur 1 f. in-12 (17,8 x 13,6 cm). Ayant appris que Monet avait pour projet de scinder en plusieurs parties ses Nymphéas, Henry Lerolle s'empresse de lui écrire pour lui demander si son épouse et lui peuvent venir admirer ses peintures : " Je vois dans les journaux que vous allez rompre l'e
[MONET].- LEFEVRE (Marie Ernest) Réunion de 11 lettres autographes signées à Claude Monet Paris, 8 mai 1888-8 mai 1895 et s. d. 33 p. sur 3 ff. simples et 8 doubles ff. in-12 (dimensions diverses). Intéressante correspondance de Marie Ernest Lefèvre, épouse d'Ernest Lefèvre, neveu d'Auguste Vacquerie. Dans une lettre du 25 janvier 1888, Marie Ernest Lefèvre fait part à Claude Monet de son enchantement après l'exposition de ses œuvres chez Goupil : " nous en sommes revenus enchantés ravis et pleins d'admiration pour ces merveilles de lumière et de transparence " (lettre du 25 janvier 1888). Elle évoque ensuite les soins qu'elle apporte à Auguste Vacquerie : " Je suis ensuite revenue très vite à Paris, car Monsieur Vacquerie y était seul, et que ma présence auprès de lui constitue mon plus impérieux devoir " (lettre du 28 novembre). Le 2 juin, elle accepte l'invitation de Monet de passer quelques jours à Giverny : " Dites à votre femme quel plaisir j'aurai à la revoir et à faire plus ample connaissance avec elle. " JOINTS - HERVIEU (Paul). Réunion de 2 billets autographes signées à Claude Monet Paris, 29 novembre 1887 et Paris, 26 novembre 1888. 2 p. et demi sur 2 f. in-12 (15,5 x 9,8 cm). Dans ces deux missives, il est question d'Octave Mirbeau. Paul Hervieu convie Claude Monet à se joindre à un dîner qu'il organise, aux côtés d'Octave Mirbeau (LAS du 29 novembre 1887). Dans la seconde, datée du 26 novembre 1888, Paul Hervieu communique à Monet l'adresse de Maurice Bouchor, avant de s'attarder quelques instants sur le prochain voyage de Mirbeau : " Mirbeau a quitté Paris hier soir pour Kerisper, d'où il doit repartir sans retard pour aller vous trouver. " - GÉMIER (Firmin). Lettre autographe signée à Claude Monet Paris, 14 mai [1899 ?] 2 p. et demi sur 1 double f. in-12 (15,7 x 13,8 cm). Firmin Gémier s'associe à Gustave Geffroy pour remercier chaleureusement Claude Monet du don d'une de ses peintures au profit d'une tombola qu'il va organiser prochainement : " Je tiens à vous répéter qu'il s'agit d'une tombola (et non d'une vente) dont les lots ne sont exclusivement que des œuvres d'art. " - FAURE (Élie). Lettre autographe signée à Claude Monet Paris, 5 novembre 1921. 2 p. sur 1 f. in-4 (26 x 21 cm). Il remercie Claude Monet de sa bienveillante donation au profit du peintre Francisco Iturrino alors en prise avec de grandes difficultés financières, suite à l'amputation d'une de ses jambes en 1921. Elie Faure décide alors d'organiser une tombola et fait appel à des nombreux artistes afin qu'ils lui confient des œuvres à mettre en vente. N'en ayant plus à donner, Monet choisit néanmoins d'offrir la somme de 1 000 francs au peintre espagnol. Elie Faure le " remercie du fond du cœur de [sa] généreuse offrande " et lui demande d'accepter que son nom figure à la liste des généreux bienfaiteurs : " il ne s'agit pas d'honorer Claude Monet qui n'en a pas besoin. Il s'agit de sauver un homme qui se noie et le nom de Claude Monet nous est bien utile. " - JOURDAIN (Frantz). Lettre autographe signée à Claude Monet S. l., 22 février 1920. 1 p. et demi sur 1 double f. in-12 (20,9 x 13,5 cm). Monet a fait parvenir à Frantz Jourdain l'une de ses œuvres. Frantz Jourdain exprime sa profonde gratitude et renouvelle avec une sincère émotion son admiration pour le peintre : " Je vous dois les meilleurs jours de ma vie, et en regardant cette toile si pleine de puissance et de jeunesse que vous nous avez envoyée, j'ai retrouvé éternellement vivante l'admiration de ma jeunesse pour le plus grand peintre de ma génération. " - LEROLLE (Henry). Lettre autographe signée du musicien, peintre et collectionneur Henry Lerolle à Claude Monet Paris, 15 octobre 1920. 1 p. sur 1 f. in-12 (17,8 x 13,6 cm). Ayant appris que Monet avait pour projet de scinder en plusieurs parties ses Nymphéas, Henry Lerolle s'empresse de lui écrire pour lui demander si son épouse et lui peuvent venir admirer ses peintures : " Je vois dans les journaux que vous allez rompre l'e
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