Anaïs Nin L.T.S. à son psychiatre S.d. (1937), 2 p. in-4, en anglais, signature autographe, avec ajout manuscrit : "Tell me when I can see you". Dactylographiées comme l'est son journal écrit à la même période. PASSIONNANTE LETTRE A SON PSYCHIATRE ALLENDY, qui a également suivi son cousin Edouardo Sanchez et son mari Hugh Guiler. Anaïs Nin reste parmi les plus exubérantes patientes de l'histoire de la psychanalyse. Passionnants et presque horrifiants sont les rapports entre Anaïs Nin et les hommes et ses psychiatres. Violée par son père, elle a aimé son cousin Edouardo, le père spirituel de son mari, une femme (June) et le mari de celle-ci (Henry Miller , puis son psychiatre, le Dr Allendy. Culpabilisée par son attirance envers son père et manquant de confiance dans ses atouts féminins, Anaïs entreprend une analyse auprès d'Allendy, qu'elle relate dans son "Journal". L'analyse, de courte durée (1932-1933), tourne court, car elle trouve son analyse œdipienne trop réductrice. Après l'avoir séduit, elle le quitte pour le disciple favori de Freud : Otto Rank, avec l'espoir d'être mieux comprise… Cet épisode tumultueux entama sérieusement la réputation du docteur, ainsi que sa propre santé psychique. Belle lettre, Anaïs félicite longuement Allendy pour son livres sur "Paracelse" (1937) : "I felt as I read it, the affinity of this life with yours, and the knowledge that your life is equally important to our rage, with your courageous pioneering in all directions, your reuniting of old wisdom with the knowledge of the future, the prophet in you, the magician who employed modern methods with magic effects…" Evoque ensuite longuement la publication de son Journal, en plusieurs volumes "like a Proustian labyrinth". Ellle tente de convaincre les éditeurs, mais dans un premier temps son Journal ne sera édité qu'en peu d'exemplaires, réservés aux seuls souscripteurs : "I am not able ton carry this out without help", aussi demande-t-elle à Allendy d'être un des souscripteurs. "You see, René, I AM DOING THIS BECAUSE I FEEL VERY FEW HAVE BEEN AS HONEST (WHITH THE HELP OF PSYCHOANALYSIS) as I have been, and that much is revealed in these diaries… I appeal to you also because psychologically you will understand the necessity for me of giving this to the world…" Nouvelles de son cousin Edouardo.
Anaïs Nin L.T.S. à son psychiatre S.d. (1937), 2 p. in-4, en anglais, signature autographe, avec ajout manuscrit : "Tell me when I can see you". Dactylographiées comme l'est son journal écrit à la même période. PASSIONNANTE LETTRE A SON PSYCHIATRE ALLENDY, qui a également suivi son cousin Edouardo Sanchez et son mari Hugh Guiler. Anaïs Nin reste parmi les plus exubérantes patientes de l'histoire de la psychanalyse. Passionnants et presque horrifiants sont les rapports entre Anaïs Nin et les hommes et ses psychiatres. Violée par son père, elle a aimé son cousin Edouardo, le père spirituel de son mari, une femme (June) et le mari de celle-ci (Henry Miller , puis son psychiatre, le Dr Allendy. Culpabilisée par son attirance envers son père et manquant de confiance dans ses atouts féminins, Anaïs entreprend une analyse auprès d'Allendy, qu'elle relate dans son "Journal". L'analyse, de courte durée (1932-1933), tourne court, car elle trouve son analyse œdipienne trop réductrice. Après l'avoir séduit, elle le quitte pour le disciple favori de Freud : Otto Rank, avec l'espoir d'être mieux comprise… Cet épisode tumultueux entama sérieusement la réputation du docteur, ainsi que sa propre santé psychique. Belle lettre, Anaïs félicite longuement Allendy pour son livres sur "Paracelse" (1937) : "I felt as I read it, the affinity of this life with yours, and the knowledge that your life is equally important to our rage, with your courageous pioneering in all directions, your reuniting of old wisdom with the knowledge of the future, the prophet in you, the magician who employed modern methods with magic effects…" Evoque ensuite longuement la publication de son Journal, en plusieurs volumes "like a Proustian labyrinth". Ellle tente de convaincre les éditeurs, mais dans un premier temps son Journal ne sera édité qu'en peu d'exemplaires, réservés aux seuls souscripteurs : "I am not able ton carry this out without help", aussi demande-t-elle à Allendy d'être un des souscripteurs. "You see, René, I AM DOING THIS BECAUSE I FEEL VERY FEW HAVE BEEN AS HONEST (WHITH THE HELP OF PSYCHOANALYSIS) as I have been, and that much is revealed in these diaries… I appeal to you also because psychologically you will understand the necessity for me of giving this to the world…" Nouvelles de son cousin Edouardo.
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