NAPOLÉON III (LOUIS-NAPOLEON BONAPARTE, FUTUR). 3 lettres signées en qualité de président de la République. 1850-1852. Le prince Louis-Napoléon Bonaparte fut élu président de la République le 10 décembre 1848 et le resta jusqu’en 1852. Le coup d’État de décembre 1851 lui permit de rester au pouvoir au-delà de la limite des quatre ans prévus, en modifiant la constitution en janvier 1852, et le 2 décembre 1852 il rétablit le régime impérial à son profit. – Lettre signée « LN Bonaparte » à son ministre de l’Intérieur, Pierre-Jules Baroche. Palais de L’Élysée, 3 octobre 1850. Il accorde sa grâce à un garde national condamné à 24 heures de prison (3/4 p. in-8). – 2 lettres signées, l’une « LN Bonaparte », l’autre « Louis Napoléon », adressées au Grand chancelier de la Légion d’honneur, le maréchal Rémi-Joseph Isidore Exelmans. Palais de Saint-Cloud, 19 octobre 1851, et palais de l’Élysée, 24 février 1852. Interventions pour accorder la croix de la Légion d’honneur à plusieurs personnes dont deux militaires, l’un « qui a servi de 1810 à 1816 et qui a reçu trois graves blessures » (3/4 p. in-8) et l’autre « qui compte vingt-cinq ans d’honorables services... » (une p. in-8).
NAPOLÉON III (LOUIS-NAPOLEON BONAPARTE, FUTUR). 3 lettres signées en qualité de président de la République. 1850-1852. Le prince Louis-Napoléon Bonaparte fut élu président de la République le 10 décembre 1848 et le resta jusqu’en 1852. Le coup d’État de décembre 1851 lui permit de rester au pouvoir au-delà de la limite des quatre ans prévus, en modifiant la constitution en janvier 1852, et le 2 décembre 1852 il rétablit le régime impérial à son profit. – Lettre signée « LN Bonaparte » à son ministre de l’Intérieur, Pierre-Jules Baroche. Palais de L’Élysée, 3 octobre 1850. Il accorde sa grâce à un garde national condamné à 24 heures de prison (3/4 p. in-8). – 2 lettres signées, l’une « LN Bonaparte », l’autre « Louis Napoléon », adressées au Grand chancelier de la Légion d’honneur, le maréchal Rémi-Joseph Isidore Exelmans. Palais de Saint-Cloud, 19 octobre 1851, et palais de l’Élysée, 24 février 1852. Interventions pour accorder la croix de la Légion d’honneur à plusieurs personnes dont deux militaires, l’un « qui a servi de 1810 à 1816 et qui a reçu trois graves blessures » (3/4 p. in-8) et l’autre « qui compte vingt-cinq ans d’honorables services... » (une p. in-8).
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