Destinée à succéder en même temps à la modeste 190 SL sous-motorisée, la 230 veut symboliser une nouvelle génération de "Grand Tourisme". Elle associe performances et confort. Sûre de sa force, fleurant bon le solide et le travail bien fait, la 230 SL affiche une telle sérénité qu'elle semble conçue pour traverser plusieurs décennies. La nouvelle 230 SL dispose des 45 ch supplémentaires qui manquaient à la 190 SL. Pour autant, il ne s'agit pas d'un modèle à hautes performances et elle n'a aucunement vocation à prendre la suite de la 300 SL qui n'aura pas de descendance directe. Cependant si la 190 SL n'avait pas le ramage, elle avait le plumage et son esthétique réussie était la raison de son succès. La tache est donc difficile pour la 230 SL qui doit lui succéder. C'est le styliste français Paul Bracq qui va relever ce défi avec panache. Allant à contre-courant des modèles précédents, il dessine une voiture aux lignes tendues, arborant un pavillon fin et plat, concave en son centre, qui fait penser à une pagode japonaise. Il n'en fallait pas plus pour que ce surnom entre dans la légende de la marque à l'étoile. Présentée au Salon de Genève en mars 1963, la 230 SL Pagode frôle les 200 km/h et parcours le 0 à 100 km/h en 11 secondes. Dans sa catégorie, ces performances la situent au même niveau que les meilleures européennes de l'époque, comme l'Alfa Romeo 2600 Spider ou la Fiat 2300 S. La Mercedes 230 SL suivra, tout au long de sa carrière, l'évolution des motorisations de la Classe S, devenant 250 SL, puis 280 SL. Elle sera produite de 1963 à 1967, à 19 831 exemplaires, soit un succès honorable compte tenu du prix de la voiture. Le modèle évoluera ensuite en 250 et 280 SL jusqu'en 1971. La voiture est du type 113.042, de numéro de série 12-017312. Le moteur 6 cylindres en ligne est du type M127 série II et porte le numéro 12-004654. Il revendique une cylindrée de 2 306 cm3, et développe une puissance de 150 ch qui permet à l'automobile d'atteindre 200 km/h. La voiture est équipée d'une boîte automatique. La mécanique a été intégralement révisée. La voiture arbore un superbe coloris blanc référence DB050. La proue est équipée d'une paire de phares halogènes longue-portée de marque Hella. L'habitacle dispose de garnitures de sièges et de contre-portes en MB-Tex rouge en état neuf. Le moquettes rouges ont été intégralement changées. Cette voiture qui se présente dans un état irréprochable dispose de sa carte-grise Espagnole. Elle incarne l'archétype de la voiture de sport des années soixante. Son confort et sa prestance lui confèrent un charme indéniable. Le raffinement du styliste y a porté la touche finale digne d'en faire une légende. Sans prix de réserve Succeeding the modest and underpowered 190SL, the 230 symbolized a new generation of Grand Touring cars. It combines performance and comfort. With effortless power, and smelling of solidity and craftsmanship, the 230SL is so serene that it seems to have been conceived to last several decades. The new 230SL had 45 additional horsepower that was lacking in the 190SL. As a result, it was not a high performance model and was not intended to follow the 300SL, which had no direct descendant. However, whilst the 190SL did not have the grunt, it had the interior and its aesthetics were the reason for its success. The task was therefore difficult for the 230SL which had to take over from it. The French stylist, Paul Bracq, met this challenge with panache. Going against the previous models, he designed a car with stretched lines, housing a subtle and flat cabin, concave at the centre, which evoked a Japanese pagoda. It didn't take much for this name to become part of the legend of the three pointed star. Presented at the Geneva Motor Show in March 1963, the 230SL Pagoda was capable of reaching 200km/h and made the 0–100km/h dash in 11 seconds. In its category, its performance was at the same level as the best European models of the time such as the Alfa Romeo 2600 Spider or the Fiat 2
Destinée à succéder en même temps à la modeste 190 SL sous-motorisée, la 230 veut symboliser une nouvelle génération de "Grand Tourisme". Elle associe performances et confort. Sûre de sa force, fleurant bon le solide et le travail bien fait, la 230 SL affiche une telle sérénité qu'elle semble conçue pour traverser plusieurs décennies. La nouvelle 230 SL dispose des 45 ch supplémentaires qui manquaient à la 190 SL. Pour autant, il ne s'agit pas d'un modèle à hautes performances et elle n'a aucunement vocation à prendre la suite de la 300 SL qui n'aura pas de descendance directe. Cependant si la 190 SL n'avait pas le ramage, elle avait le plumage et son esthétique réussie était la raison de son succès. La tache est donc difficile pour la 230 SL qui doit lui succéder. C'est le styliste français Paul Bracq qui va relever ce défi avec panache. Allant à contre-courant des modèles précédents, il dessine une voiture aux lignes tendues, arborant un pavillon fin et plat, concave en son centre, qui fait penser à une pagode japonaise. Il n'en fallait pas plus pour que ce surnom entre dans la légende de la marque à l'étoile. Présentée au Salon de Genève en mars 1963, la 230 SL Pagode frôle les 200 km/h et parcours le 0 à 100 km/h en 11 secondes. Dans sa catégorie, ces performances la situent au même niveau que les meilleures européennes de l'époque, comme l'Alfa Romeo 2600 Spider ou la Fiat 2300 S. La Mercedes 230 SL suivra, tout au long de sa carrière, l'évolution des motorisations de la Classe S, devenant 250 SL, puis 280 SL. Elle sera produite de 1963 à 1967, à 19 831 exemplaires, soit un succès honorable compte tenu du prix de la voiture. Le modèle évoluera ensuite en 250 et 280 SL jusqu'en 1971. La voiture est du type 113.042, de numéro de série 12-017312. Le moteur 6 cylindres en ligne est du type M127 série II et porte le numéro 12-004654. Il revendique une cylindrée de 2 306 cm3, et développe une puissance de 150 ch qui permet à l'automobile d'atteindre 200 km/h. La voiture est équipée d'une boîte automatique. La mécanique a été intégralement révisée. La voiture arbore un superbe coloris blanc référence DB050. La proue est équipée d'une paire de phares halogènes longue-portée de marque Hella. L'habitacle dispose de garnitures de sièges et de contre-portes en MB-Tex rouge en état neuf. Le moquettes rouges ont été intégralement changées. Cette voiture qui se présente dans un état irréprochable dispose de sa carte-grise Espagnole. Elle incarne l'archétype de la voiture de sport des années soixante. Son confort et sa prestance lui confèrent un charme indéniable. Le raffinement du styliste y a porté la touche finale digne d'en faire une légende. Sans prix de réserve Succeeding the modest and underpowered 190SL, the 230 symbolized a new generation of Grand Touring cars. It combines performance and comfort. With effortless power, and smelling of solidity and craftsmanship, the 230SL is so serene that it seems to have been conceived to last several decades. The new 230SL had 45 additional horsepower that was lacking in the 190SL. As a result, it was not a high performance model and was not intended to follow the 300SL, which had no direct descendant. However, whilst the 190SL did not have the grunt, it had the interior and its aesthetics were the reason for its success. The task was therefore difficult for the 230SL which had to take over from it. The French stylist, Paul Bracq, met this challenge with panache. Going against the previous models, he designed a car with stretched lines, housing a subtle and flat cabin, concave at the centre, which evoked a Japanese pagoda. It didn't take much for this name to become part of the legend of the three pointed star. Presented at the Geneva Motor Show in March 1963, the 230SL Pagoda was capable of reaching 200km/h and made the 0–100km/h dash in 11 seconds. In its category, its performance was at the same level as the best European models of the time such as the Alfa Romeo 2600 Spider or the Fiat 2
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