Paire de flambeaux aux hiboux en bronze ciselé, doré et patiné. Le fut fuselé lisse reposant sur trois pattes de lion, porte trois étoiles en applique à la partie supérieure et est surmonté de trois hiboux aux ailes déployées soutenant le binet. Base ronde ornée d’une frise de palmettes Epoque Empire, attribués à Claude Galle (1785-1815) H : 29 cm Les deux flambeaux portent la référence SB.37 sous la base Usures à la patine Conçu sous le Directoire, ce type de flambeaux est référencé dans l'atelier de Claude Galle en 1799. Un modèle est également présent dans l'inventaire du Palais de Fontainebleau en 1807, dans le deuxième salon de l'Impératrice et décrit comme tel : une paire en cuivre gaines rondes griffés et hiboux dorés or mat. H. 29 cm. Parmi les diverses variantes existantes, il est à noter que les hiboux sont parfois supplantés par des bustes à l’Antique ou à l’égyptienne. Bibliographie: Jean-Pierre Samoyault, Pendules et bronzes d'ameublement entrés sous le 1er Empire, 1989. Musée du château de Fontainebleau, planche 157, page 176. Ernest Dumonthier, Les bronzes du mobilier national : Bronzes d’Eclairage et de Chauffage, Paris, 1911. Hans Ottomeyer et Peter Pröschel, Vergoldete Bronzen, tome 1, Munich, 1986, p. 326.
Paire de flambeaux aux hiboux en bronze ciselé, doré et patiné. Le fut fuselé lisse reposant sur trois pattes de lion, porte trois étoiles en applique à la partie supérieure et est surmonté de trois hiboux aux ailes déployées soutenant le binet. Base ronde ornée d’une frise de palmettes Epoque Empire, attribués à Claude Galle (1785-1815) H : 29 cm Les deux flambeaux portent la référence SB.37 sous la base Usures à la patine Conçu sous le Directoire, ce type de flambeaux est référencé dans l'atelier de Claude Galle en 1799. Un modèle est également présent dans l'inventaire du Palais de Fontainebleau en 1807, dans le deuxième salon de l'Impératrice et décrit comme tel : une paire en cuivre gaines rondes griffés et hiboux dorés or mat. H. 29 cm. Parmi les diverses variantes existantes, il est à noter que les hiboux sont parfois supplantés par des bustes à l’Antique ou à l’égyptienne. Bibliographie: Jean-Pierre Samoyault, Pendules et bronzes d'ameublement entrés sous le 1er Empire, 1989. Musée du château de Fontainebleau, planche 157, page 176. Ernest Dumonthier, Les bronzes du mobilier national : Bronzes d’Eclairage et de Chauffage, Paris, 1911. Hans Ottomeyer et Peter Pröschel, Vergoldete Bronzen, tome 1, Munich, 1986, p. 326.
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