Paul VALERY La Jeune Parque Paris, Editions de la Nouvelle Revue française, 1917. In-4. Reliure de l'époque doublée signée de Noulhac. Plein maroquin bleu nuit ; plats ornés d'un quadruple encadrement : double filet doré, listel de maroquin citron maroquiné, filet doré et filet pointillé doré ; dos à 5 nerfs, caissons bordés de listels de maroquin citron ; coupes filetées, tranches dorés ; contreplats de maroquin citron avec encadrement de filets dorés, gardes de moire bleue. Couverture illustrée conservée. Edition originale tirée 600 exemplaires. Un des 575 exemplaires sur vergé d'Arches (n° 92), après 25 japon hors commerce. Exemplaire enrichi du manuscrit autographe d'un passage du poème de 25 vers (2 pp. in-4 à l'encre noire). " (...) Ô n'aurait-il fallu, folle, que j'accomplisse Ma merveilleuse fin de choisir pour supplice Ce lucide dédain des nuances du sort ? Trouveras-tu jamais plus transparente mort Ni de pente plus pure où je rampe à ma perte Que sur ce long regard de victime entr'ouverte, Pâle, qui se résigne et saigne sans regret ? (...) " Très bel exemplaire, parfaitement relié par Noulhac. Provenance : Le grand banquier et bibliophile Christian Lazard (monogramme doré au contreplat supérieur).
Paul VALERY La Jeune Parque Paris, Editions de la Nouvelle Revue française, 1917. In-4. Reliure de l'époque doublée signée de Noulhac. Plein maroquin bleu nuit ; plats ornés d'un quadruple encadrement : double filet doré, listel de maroquin citron maroquiné, filet doré et filet pointillé doré ; dos à 5 nerfs, caissons bordés de listels de maroquin citron ; coupes filetées, tranches dorés ; contreplats de maroquin citron avec encadrement de filets dorés, gardes de moire bleue. Couverture illustrée conservée. Edition originale tirée 600 exemplaires. Un des 575 exemplaires sur vergé d'Arches (n° 92), après 25 japon hors commerce. Exemplaire enrichi du manuscrit autographe d'un passage du poème de 25 vers (2 pp. in-4 à l'encre noire). " (...) Ô n'aurait-il fallu, folle, que j'accomplisse Ma merveilleuse fin de choisir pour supplice Ce lucide dédain des nuances du sort ? Trouveras-tu jamais plus transparente mort Ni de pente plus pure où je rampe à ma perte Que sur ce long regard de victime entr'ouverte, Pâle, qui se résigne et saigne sans regret ? (...) " Très bel exemplaire, parfaitement relié par Noulhac. Provenance : Le grand banquier et bibliophile Christian Lazard (monogramme doré au contreplat supérieur).
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