Pendule borne antique «ANACREON» en bronze patiné et doré, socle en marbre griotte d'Italie, orné de bas-relief en bronze ciselé et doré représentant Anacréon, assis, tenant sa lyre, un amour ailé à ses côtés, et une urne posée à sa droite. Cadran émaillé blanc signé de Manière à Paris, encadré d'une frise de pampres et feuilles de vigne, les cotés ornés de masques et de lances croisées. (manques le timbre et le balancier). Epoque Empire, vers 1806 -1807. Les bronzes attribués à Galle. H.: 48 cm Cette très belle pendule du début du 1er Empire est identique à celle livrée le 30 aout 1806 par Lepaute et qui avait été placée en 1807 dans le salon de la princesse de Lucques et de Piombino à Fontainebleau, toujours en place en 1810. Son cadran était signé Henry Lepaute. Inv: F.5059, F.8787, F.10222, F.12478. Un mémoire de l'époque du 8 septembre 1806, mentionne quatre pendules bornes de forme antique en marbre noir, décorées chacune de bas-relief en bronze, dont l'une d'Anacréon inspiré par l'amour, les ornements bien dorés au mat. Mais en réalité, deux pendules sont en marbre, la troisième ornée du bas-relief d'Anacréon, et la quatrième est une pendule portique L'une, des quatre fut placée dans la chambre de Napoléon I, et emportée par lui à l'ile d'Elbe en avril 1814. Une autre pendule identique, mais le bas-relief principal d'Anacréon comporte une variante avec une coupe sur une colonne à droite, à la place de l'urne posée par terre, le cadran signé de Bailly fut livrée en 1806 pour le salon du secrétaire d'Etat du Royaume d'Italie à Fontainebleau. Inv: F.4179, F.9119, F.1106, F.1602. Trois autres pendules bornes en marbre, sont sorties avant 1894 ou à une date indéterminée, dont une provenant de la chambre de l'Empereur signée de Lepaute, une autre dans le salon n°4 de la cour des Princes, et enfin une dernière dans l'appartement du grand veneur, les trois au château de Fontainebleau. Charles-Guillaume Manière, fils, établi avec son père à Paris en 1781, puis en 1806 rue Christine toujours à Paris et enfin rue Bertin-Poirée vers 1810. Bibliographie: Jean-Pierre Samoyaut «Pendules et bronzes d'ameublement entrés sous le Premier Empire». Ottomeyer et Pröschel, «Orfèvrerie et horlogerie». Tardy «Dictionnaire des horlogers français».
Pendule borne antique «ANACREON» en bronze patiné et doré, socle en marbre griotte d'Italie, orné de bas-relief en bronze ciselé et doré représentant Anacréon, assis, tenant sa lyre, un amour ailé à ses côtés, et une urne posée à sa droite. Cadran émaillé blanc signé de Manière à Paris, encadré d'une frise de pampres et feuilles de vigne, les cotés ornés de masques et de lances croisées. (manques le timbre et le balancier). Epoque Empire, vers 1806 -1807. Les bronzes attribués à Galle. H.: 48 cm Cette très belle pendule du début du 1er Empire est identique à celle livrée le 30 aout 1806 par Lepaute et qui avait été placée en 1807 dans le salon de la princesse de Lucques et de Piombino à Fontainebleau, toujours en place en 1810. Son cadran était signé Henry Lepaute. Inv: F.5059, F.8787, F.10222, F.12478. Un mémoire de l'époque du 8 septembre 1806, mentionne quatre pendules bornes de forme antique en marbre noir, décorées chacune de bas-relief en bronze, dont l'une d'Anacréon inspiré par l'amour, les ornements bien dorés au mat. Mais en réalité, deux pendules sont en marbre, la troisième ornée du bas-relief d'Anacréon, et la quatrième est une pendule portique L'une, des quatre fut placée dans la chambre de Napoléon I, et emportée par lui à l'ile d'Elbe en avril 1814. Une autre pendule identique, mais le bas-relief principal d'Anacréon comporte une variante avec une coupe sur une colonne à droite, à la place de l'urne posée par terre, le cadran signé de Bailly fut livrée en 1806 pour le salon du secrétaire d'Etat du Royaume d'Italie à Fontainebleau. Inv: F.4179, F.9119, F.1106, F.1602. Trois autres pendules bornes en marbre, sont sorties avant 1894 ou à une date indéterminée, dont une provenant de la chambre de l'Empereur signée de Lepaute, une autre dans le salon n°4 de la cour des Princes, et enfin une dernière dans l'appartement du grand veneur, les trois au château de Fontainebleau. Charles-Guillaume Manière, fils, établi avec son père à Paris en 1781, puis en 1806 rue Christine toujours à Paris et enfin rue Bertin-Poirée vers 1810. Bibliographie: Jean-Pierre Samoyaut «Pendules et bronzes d'ameublement entrés sous le Premier Empire». Ottomeyer et Pröschel, «Orfèvrerie et horlogerie». Tardy «Dictionnaire des horlogers français».
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