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Auktionsarchiv: Los-Nr. 8

Pierre-Jean de BÉRANGER (1780-1857)

Schätzpreis
2.000 € - 3.000 €
ca. 2.698 $ - 4.047 $
Zuschlagspreis:
1.600 €
ca. 2.158 $
Auktionsarchiv: Los-Nr. 8

Pierre-Jean de BÉRANGER (1780-1857)

Schätzpreis
2.000 € - 3.000 €
ca. 2.698 $ - 4.047 $
Zuschlagspreis:
1.600 €
ca. 2.158 $
Beschreibung:

MANUSCRIT autographe, [Dernières Chansons, 1852]; un volume petit in-4 de 231 pages, rel. maroquin brun. RECUEIL COMPLET DES DERNIERES CHANSONS DE BERANGER, rassemblant 96 chansons, composées entre 1834 et 1851 et « corrigées aussi bien que je le puis faire », comme l'écrit l'auteur à l'éditeur, le 25 juin 1852. Ce manuscrit a été soigneusement mis au net, chaque poème commençant en bonne page après une page blanche; tous comportent une indication liminaire de leur recueil d'origine (« Recueil 1838 à 40 », etc.), et souvent une ou plusieurs notes explicatives de l'auteur. Ce manuscrit comporte les pièces suivantes: Plus de vers, Un ange, Le Phénix, Les Chansonnettes, Les Fourmis, Le Baptême, L'Égyptienne, De profundis, La Prisonnière, Adieu Paris!, Mon jardin, Le Cheval arabe, La Rose et le Tonnerre, Au galop!, Ascension, L'Aigle et l'Étoile, Ste Hélène, La Leçon d'histoire, Il n'est pas mort, Madame Mère, Dix-neuf août, Les Oiseaux de la Grenadière, Le Matelot breton, Danse métaphysique, Le Tambour major, L'Officier, Une idée, La Couronne retrouvée, Je suis ménétrier, Les Ailes, Le Chasseur, La Rivière, Bondi, Vermine, Panthéisme, La Syrène, Les Bois, Le Merle, La Jeune Fille, Les Gages, La Tourterelle et le Papillon, La Guerre, Güttemberg, Les Vendanges, L'Argent, Avis, La Pluie, Retour à Paris, Les Grands Projets, La Fille du Diable, La Petite Bouquetière, Les Voyages, Le Saint, Les Violettes, La Pâquerette et l'Étoile, L'Apôtre, Mes craintes, La Fée aux rimes, Le Postillon, Les Défauts, Le Rosier, L'Oiseau Fontaine, Mon carnaval, Leçon de lecture, Notre globe, Le Dieu Jean, St Napoléon, Le Jongleur, Couplets détachés, Le Pactole, L'Olympe ressuscité, Les Papillons, La Dernière Fée, Le Savant, Plus d'oiseaux!, Mon ombre, La Colombe et le corbeau du Déluge, Ma canne, Les Tambours, Histoire d'une idée, Les Bénédictions, La Reine, Enfer et diable, Rêve de nos jeunes filles, Le Corps et l'âme, La Nourrice, Le Septuagénaire, Mes fleurs, L'Avenir de nos beaux esprits, La Belle Fille, La Prédiction, L'Or, La Maîtresse du roi, Le Chapelet du bonhomme, Le Premier Papillon, Adieu. ON A RELIE EN TETE 11 L.A.S. et 4 P.A.S. de Béranger à son éditeur PERROTIN, Tours, Passy et Paris 1838-1852 (24 p. formats divers). Cette correspondance permet de suivre l'histoire des Dernières chansons, qui seront publiées en 1857 chez Perrotin. Elle témoigne aussi de la grande cordialité qui a marqué la relation entre le poète et son éditeur. 5 septembre 1838, exposé des précautions prises pour garantir à Perrotin la propriété des chansons que Béranger pourrait faire avant sa mort, en échange d'une rente viagère, et liste des 25 chansons qu'il lui adresse... 29 novembre 1839, envoi de 14 nouvelles chansons (dont liste), et promesse de mettre la dernière main à une notice sur sa vie: « cette besogne ne me sourit guère »... 20 juillet 1842, liste des chansons faites depuis un an, et instructions sur la conduite à tenir en cas de son décès... 15 mars 1844, envoi de chansons pour être déposées chez le notaire: « J'ai commencé un nouveau cahier; je ne sais si je le remplacerai, car l'âge ralentit mon travail à ce point, qu'il me semble que bientôt les vers me manqueront. Ce qui me console, c'est que je vous ai promis un volume à ma mort, et qu'avec les 7 chansons que je vous donne aujourd'hui, le total doit être de 74 »... 18 août 1846, envoi de 8 chansons nouvelles à déposer chez le notaire: « nous voici arrivés au nombre de 86 »... - « Je remets cette seconde copie de mes chansons inédites, au nombre de 86 plus deux couplets détachés, à Perrotin [...] pour qu'il en fasse, à ma mort, l'usage qu'il jugera convenable, suivant les actes passés entre nous »... 19 décembre 1846, récapitulatif de leur marché, avec éloge des bons procédés de l'éditeur: « vous n'avez cessé de me prodiguer les soins dispendieux, les attentions délicates d'un dévouement que je puis appeler filial »; Béranger voit « une espèce de glorification artistique » dans la magnifique édition a

Auktionsarchiv: Los-Nr. 8
Auktion:
Datum:
25.11.2013
Auktionshaus:
Ferri
53, rue de Vivienne
75002 Paris
Frankreich
ferri.cp@ferri-drouot.com
+33 (0)1 4233 1124
+33 (0)1 4233 4000
Beschreibung:

MANUSCRIT autographe, [Dernières Chansons, 1852]; un volume petit in-4 de 231 pages, rel. maroquin brun. RECUEIL COMPLET DES DERNIERES CHANSONS DE BERANGER, rassemblant 96 chansons, composées entre 1834 et 1851 et « corrigées aussi bien que je le puis faire », comme l'écrit l'auteur à l'éditeur, le 25 juin 1852. Ce manuscrit a été soigneusement mis au net, chaque poème commençant en bonne page après une page blanche; tous comportent une indication liminaire de leur recueil d'origine (« Recueil 1838 à 40 », etc.), et souvent une ou plusieurs notes explicatives de l'auteur. Ce manuscrit comporte les pièces suivantes: Plus de vers, Un ange, Le Phénix, Les Chansonnettes, Les Fourmis, Le Baptême, L'Égyptienne, De profundis, La Prisonnière, Adieu Paris!, Mon jardin, Le Cheval arabe, La Rose et le Tonnerre, Au galop!, Ascension, L'Aigle et l'Étoile, Ste Hélène, La Leçon d'histoire, Il n'est pas mort, Madame Mère, Dix-neuf août, Les Oiseaux de la Grenadière, Le Matelot breton, Danse métaphysique, Le Tambour major, L'Officier, Une idée, La Couronne retrouvée, Je suis ménétrier, Les Ailes, Le Chasseur, La Rivière, Bondi, Vermine, Panthéisme, La Syrène, Les Bois, Le Merle, La Jeune Fille, Les Gages, La Tourterelle et le Papillon, La Guerre, Güttemberg, Les Vendanges, L'Argent, Avis, La Pluie, Retour à Paris, Les Grands Projets, La Fille du Diable, La Petite Bouquetière, Les Voyages, Le Saint, Les Violettes, La Pâquerette et l'Étoile, L'Apôtre, Mes craintes, La Fée aux rimes, Le Postillon, Les Défauts, Le Rosier, L'Oiseau Fontaine, Mon carnaval, Leçon de lecture, Notre globe, Le Dieu Jean, St Napoléon, Le Jongleur, Couplets détachés, Le Pactole, L'Olympe ressuscité, Les Papillons, La Dernière Fée, Le Savant, Plus d'oiseaux!, Mon ombre, La Colombe et le corbeau du Déluge, Ma canne, Les Tambours, Histoire d'une idée, Les Bénédictions, La Reine, Enfer et diable, Rêve de nos jeunes filles, Le Corps et l'âme, La Nourrice, Le Septuagénaire, Mes fleurs, L'Avenir de nos beaux esprits, La Belle Fille, La Prédiction, L'Or, La Maîtresse du roi, Le Chapelet du bonhomme, Le Premier Papillon, Adieu. ON A RELIE EN TETE 11 L.A.S. et 4 P.A.S. de Béranger à son éditeur PERROTIN, Tours, Passy et Paris 1838-1852 (24 p. formats divers). Cette correspondance permet de suivre l'histoire des Dernières chansons, qui seront publiées en 1857 chez Perrotin. Elle témoigne aussi de la grande cordialité qui a marqué la relation entre le poète et son éditeur. 5 septembre 1838, exposé des précautions prises pour garantir à Perrotin la propriété des chansons que Béranger pourrait faire avant sa mort, en échange d'une rente viagère, et liste des 25 chansons qu'il lui adresse... 29 novembre 1839, envoi de 14 nouvelles chansons (dont liste), et promesse de mettre la dernière main à une notice sur sa vie: « cette besogne ne me sourit guère »... 20 juillet 1842, liste des chansons faites depuis un an, et instructions sur la conduite à tenir en cas de son décès... 15 mars 1844, envoi de chansons pour être déposées chez le notaire: « J'ai commencé un nouveau cahier; je ne sais si je le remplacerai, car l'âge ralentit mon travail à ce point, qu'il me semble que bientôt les vers me manqueront. Ce qui me console, c'est que je vous ai promis un volume à ma mort, et qu'avec les 7 chansons que je vous donne aujourd'hui, le total doit être de 74 »... 18 août 1846, envoi de 8 chansons nouvelles à déposer chez le notaire: « nous voici arrivés au nombre de 86 »... - « Je remets cette seconde copie de mes chansons inédites, au nombre de 86 plus deux couplets détachés, à Perrotin [...] pour qu'il en fasse, à ma mort, l'usage qu'il jugera convenable, suivant les actes passés entre nous »... 19 décembre 1846, récapitulatif de leur marché, avec éloge des bons procédés de l'éditeur: « vous n'avez cessé de me prodiguer les soins dispendieux, les attentions délicates d'un dévouement que je puis appeler filial »; Béranger voit « une espèce de glorification artistique » dans la magnifique édition a

Auktionsarchiv: Los-Nr. 8
Auktion:
Datum:
25.11.2013
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