VICTOR HUGO] -- IMPORTANTE RÉUNION DE LETTRES, LA PLUPART ADRESSÉES À VICTOR HUGO dont
VICTOR HUGO] -- IMPORTANTE RÉUNION DE LETTRES, LA PLUPART ADRESSÉES À VICTOR HUGO dont: --Une lettre autographe signée d'Édouard Lockroy donnant des nouvelles de Georges et de Jeanne. Sans date [1876]. 2 pages in-16. "Vos deux chers petits enfants viennent d'arriver à Bex avec leur mère. Je sais votre tendresse pour eux et je ne résiste point à l'envie de vous donner de leurs nouvelles. Georges va beaucoup mieux [...]." --Copie d'une lettre de James Pradier Sans date. Une page in-4. Lettre relative à la maladie de Claire Pradier, fille de Juliette Drouet. "Elle est perdue cette pauvre et trop admirable fille mon cher Victor j'ai le coeur brisé. Chomel me l'a dit en sortant de chez sa pauvre mère avec moi [...]." La lettre originale est conservée à la Maison de Victor Hugo --Deux lettres autographes de Paul de Saint-Victor de deux pages in-12 chacune sur un feuillet replié. (Petites rousseurs.) Elles sont respectivement datées "ce jeudi 27 février" et "ce samedi 1er novembre" [1873]. "[...] Gravir votre oeuvre et la pénétrer c'est l'élévation et la volupté de l'esprit. C'est l'humble et fière sensation d'atteindre par le pas de l'intelligence la région où le génie plane [...]." Dans la seconde lettre, Paul de Saint- Victor évoque la première de la Jeanne d'Arc de Gounod qui eut lieu le 8 novembre 1873. --Une lettre d'une actrice (Elisa ?). Deux pages in-4. "Le théâtre, je ne sais pas si je l'aime. Depuis bien des années je poursuis un rêve, une chimère, un fantôme sans but, sans nom aucun. La vie ordinaire me déplaît [...]." --Lettre autographe signée d'Augustine Allix à François-Victor Hugo Datée de Guernesey le 3 novembre 1860. Une page in-12. "[...] Vous êtes invité par la Société à venir prendre un verre de tokay entre onze heures et minuit. M. Charles Hugo et Mme Victor Hugo et Mlle Adèle vous en font la recommandation expresse [...]." La lettre est également signée par Mme Hugo, Adèle et Charles Hugo Augustine Allix, professeur de chant, était la soeur de Jules Allix qui avait été banni de France à la suite de différents complots dans lesquels il avait été compromis en 1853. --Une longue lettre d'une inconnue. 4 pages in-4. Datée "Lagrange [Perrey] ce 9 juillet. Papier à lettre au chiffre couronné "F.D.". "Me voici miraculeusement entrée en convalescence d'une crise qui pouvait être mortelle. Je m'empresse de vous l'annoncer mon digne ami, non pour vous rassurer sur des craintes que vous n'aurez point conçues; que suis-je pour vous ? [...]." Parmi les autres lettres de cet ensemble, citons une lettre de Charles Morisseau au sujet d'un fusil pour "Monsieur Petit Georges", une lettre de Charles Noailles du 16 août 1878 ("Les journaux bonapartistes voulant se venger de l'homme qui a écrit l' Histoire d'un crime profitent de son absence pour répandre sur sa santé les bruits les plus alarmants [...]") et une enveloppe contenant des pétales séchés et portant la mention autographe de Victor Hugo "je désire que les purs et suaves parfums de ces fleurs vous rapellent un moment la patrie absente et vous donnent un moment de bonheur". À ces lettres s'ajoutent divers documents dont deux menus au nom de Georges Hugo et un ensemble d'enveloppes vides. Certaines lettres, ayant servi de chemises, portent une mention autographe de Hugo.
VICTOR HUGO] -- IMPORTANTE RÉUNION DE LETTRES, LA PLUPART ADRESSÉES À VICTOR HUGO dont
VICTOR HUGO] -- IMPORTANTE RÉUNION DE LETTRES, LA PLUPART ADRESSÉES À VICTOR HUGO dont: --Une lettre autographe signée d'Édouard Lockroy donnant des nouvelles de Georges et de Jeanne. Sans date [1876]. 2 pages in-16. "Vos deux chers petits enfants viennent d'arriver à Bex avec leur mère. Je sais votre tendresse pour eux et je ne résiste point à l'envie de vous donner de leurs nouvelles. Georges va beaucoup mieux [...]." --Copie d'une lettre de James Pradier Sans date. Une page in-4. Lettre relative à la maladie de Claire Pradier, fille de Juliette Drouet. "Elle est perdue cette pauvre et trop admirable fille mon cher Victor j'ai le coeur brisé. Chomel me l'a dit en sortant de chez sa pauvre mère avec moi [...]." La lettre originale est conservée à la Maison de Victor Hugo --Deux lettres autographes de Paul de Saint-Victor de deux pages in-12 chacune sur un feuillet replié. (Petites rousseurs.) Elles sont respectivement datées "ce jeudi 27 février" et "ce samedi 1er novembre" [1873]. "[...] Gravir votre oeuvre et la pénétrer c'est l'élévation et la volupté de l'esprit. C'est l'humble et fière sensation d'atteindre par le pas de l'intelligence la région où le génie plane [...]." Dans la seconde lettre, Paul de Saint- Victor évoque la première de la Jeanne d'Arc de Gounod qui eut lieu le 8 novembre 1873. --Une lettre d'une actrice (Elisa ?). Deux pages in-4. "Le théâtre, je ne sais pas si je l'aime. Depuis bien des années je poursuis un rêve, une chimère, un fantôme sans but, sans nom aucun. La vie ordinaire me déplaît [...]." --Lettre autographe signée d'Augustine Allix à François-Victor Hugo Datée de Guernesey le 3 novembre 1860. Une page in-12. "[...] Vous êtes invité par la Société à venir prendre un verre de tokay entre onze heures et minuit. M. Charles Hugo et Mme Victor Hugo et Mlle Adèle vous en font la recommandation expresse [...]." La lettre est également signée par Mme Hugo, Adèle et Charles Hugo Augustine Allix, professeur de chant, était la soeur de Jules Allix qui avait été banni de France à la suite de différents complots dans lesquels il avait été compromis en 1853. --Une longue lettre d'une inconnue. 4 pages in-4. Datée "Lagrange [Perrey] ce 9 juillet. Papier à lettre au chiffre couronné "F.D.". "Me voici miraculeusement entrée en convalescence d'une crise qui pouvait être mortelle. Je m'empresse de vous l'annoncer mon digne ami, non pour vous rassurer sur des craintes que vous n'aurez point conçues; que suis-je pour vous ? [...]." Parmi les autres lettres de cet ensemble, citons une lettre de Charles Morisseau au sujet d'un fusil pour "Monsieur Petit Georges", une lettre de Charles Noailles du 16 août 1878 ("Les journaux bonapartistes voulant se venger de l'homme qui a écrit l' Histoire d'un crime profitent de son absence pour répandre sur sa santé les bruits les plus alarmants [...]") et une enveloppe contenant des pétales séchés et portant la mention autographe de Victor Hugo "je désire que les purs et suaves parfums de ces fleurs vous rapellent un moment la patrie absente et vous donnent un moment de bonheur". À ces lettres s'ajoutent divers documents dont deux menus au nom de Georges Hugo et un ensemble d'enveloppes vides. Certaines lettres, ayant servi de chemises, portent une mention autographe de Hugo.
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