André JOLIVET. TROIS MANUSCRITS MUSICAUX autographes, 2 signés, Suite rhapsodique pour violon seul [K 244], 1965 ; 23 feuillets formats divers, et 2 cahiers in-fol. de 16 et 12 pages sous chemises titrées. ENSEMBLE DES ESQUISSES ET DES DEUX VERSIONS DE CETTE SUITE RHAPSODIQUE POUR VIOLON SEUL, inspirée par les musiques hébraïques et orientales entendues lors d’un séjour en Israël en 1963 : « Véritable retour aux sources dont il m’a paru que notre occidental violon pouvait tirer profit. Les sources d’inspiration de cette Suite justifient qu’elle soit monodique ». Selon Devy Erlih, qui en fut l’interprète inspiré : « La Suite rhapsodique, comparée aux principales œuvres écrites pour violon seul, n’a rien d’iconoclaste mais réinvente, là aussi, une autre expression de l’instrument : la magie, la transcendance, le mysticisme ». Jouée à l’ambassade du Canada à Paris, le 28 septembre 1965, par Hyman Bress, elle fut véritablement créée en public à la salle des Conservatoires le 9 février 1966 par Devy Erlih, et éditée chez Boosey & Hawkes en 1966. Elle compte cinq mouvements : A. Præludio ; B. Aria I ; C. Intermezzo ; D. Aria II ; E. Finale : vivo e marcato assai. ESQUISSES au crayon abondamment raturées et corrigées, les mouvements I et III (nommé Trio) sur 15 feuillets oblongs à 8 lignes, les autres sur 8 grands feuillets à 16 lignes ; le dernier est extrait du manuscrit de La Queste de Lancelot (musique radiophonique de 1943) : intitulé Sommeil de Lancelot et biffé, Jolivet en a réutilisé le thème pour le final. MANUSCRIT DE LA PREMIERE VERSION, mis au net à l’encre noire sur papier Durand à 18 lignes (16 pages, plus 2 petits fragments découpés), puis surchargé de corrections, variantes et annotations au crayon noir. Le titre primitif : Sonatine rhapsodique a été corrigé en « Suite ». MANUSCRIT DE LA VERSION DEFINITIVE, soigneusement mis au net à l’encre noire sur papier Durand à 16 lignes ; on remarque quelques petites annotations au crayon ou au stylo rouge, et une importante collette modifiant une partie du Finale. Il porte les cachets d’enregistrement à la SACEM le 9 juin 1965. ON JOINT 2 feuillets de notes autographes sur le découpage et le minutage de la pièce, et les accords col legno. Discographie : Devy Erlih (1966, Accord 2005).
André JOLIVET. TROIS MANUSCRITS MUSICAUX autographes, 2 signés, Suite rhapsodique pour violon seul [K 244], 1965 ; 23 feuillets formats divers, et 2 cahiers in-fol. de 16 et 12 pages sous chemises titrées. ENSEMBLE DES ESQUISSES ET DES DEUX VERSIONS DE CETTE SUITE RHAPSODIQUE POUR VIOLON SEUL, inspirée par les musiques hébraïques et orientales entendues lors d’un séjour en Israël en 1963 : « Véritable retour aux sources dont il m’a paru que notre occidental violon pouvait tirer profit. Les sources d’inspiration de cette Suite justifient qu’elle soit monodique ». Selon Devy Erlih, qui en fut l’interprète inspiré : « La Suite rhapsodique, comparée aux principales œuvres écrites pour violon seul, n’a rien d’iconoclaste mais réinvente, là aussi, une autre expression de l’instrument : la magie, la transcendance, le mysticisme ». Jouée à l’ambassade du Canada à Paris, le 28 septembre 1965, par Hyman Bress, elle fut véritablement créée en public à la salle des Conservatoires le 9 février 1966 par Devy Erlih, et éditée chez Boosey & Hawkes en 1966. Elle compte cinq mouvements : A. Præludio ; B. Aria I ; C. Intermezzo ; D. Aria II ; E. Finale : vivo e marcato assai. ESQUISSES au crayon abondamment raturées et corrigées, les mouvements I et III (nommé Trio) sur 15 feuillets oblongs à 8 lignes, les autres sur 8 grands feuillets à 16 lignes ; le dernier est extrait du manuscrit de La Queste de Lancelot (musique radiophonique de 1943) : intitulé Sommeil de Lancelot et biffé, Jolivet en a réutilisé le thème pour le final. MANUSCRIT DE LA PREMIERE VERSION, mis au net à l’encre noire sur papier Durand à 18 lignes (16 pages, plus 2 petits fragments découpés), puis surchargé de corrections, variantes et annotations au crayon noir. Le titre primitif : Sonatine rhapsodique a été corrigé en « Suite ». MANUSCRIT DE LA VERSION DEFINITIVE, soigneusement mis au net à l’encre noire sur papier Durand à 16 lignes ; on remarque quelques petites annotations au crayon ou au stylo rouge, et une importante collette modifiant une partie du Finale. Il porte les cachets d’enregistrement à la SACEM le 9 juin 1965. ON JOINT 2 feuillets de notes autographes sur le découpage et le minutage de la pièce, et les accords col legno. Discographie : Devy Erlih (1966, Accord 2005).
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