Gabriel POMERAND. Manuscrit autographe, et tapuscrit avec additions autographes, Petit imprécis de l’Imperfection ou l’art d’apprécier l’ignorance, 1950 ; 8 pages in-4, et 53 pages in-4 sous couverture cartonnée et titrée. Manuscrit d’aphorismes et tapuscrit de travail avec de nombreuses additions de ce texte inédit, proposé à Pierre Seghers, qui, le 9 juin 1950, refusa de le publier [Letaillieur p. 61]. Le tapuscrit est daté en fin « Au Caire, Janvier 1950 ». Le manuscrit, à l’encre noire, est intitulé « Notes marginales pour le petit imprécis de l’imperfection ». La page 2 est écrite au verso d’un dessin au crayon annoté et signé « Philippe ». Ces 63 aphorismes ont été pointés et biffés légèrement au crayon après insertion dans le tapuscrit. Citons-en quelques-uns : « L’abracadabrant n’est que la chance de la conversion » ; « Les avortés de la pensée s’appellent des philosophes » ; « Je ne m’amuse jamais. J’écris » ; « Je me drogue de mots jusqu’à me croire franc » ; « Je me branle avec des lettres, mais je me l’avoue » ; « L’ambulance de mon corps est noire comme si elle sortait de la guerre. Le blessé qu’elle porte, c’est moi, cahin-caha »… Le tapuscrit est paginé au dos des feuillets. Outre quelques corrections, il présente 65 additions autographes à l’encre rouge, aphorismes notés la plupart dans les marges, onze comme sous-titres des chapitres, et deux signés « J.B. » inscrits au début et à la fin du texte : « Au fond, est-ce le moi qui est haïssable, ou bien est-ce le vôtre » et « Je préfère mes défauts à votre approbation » Sur la page de titre, « im-précis » a été corrigé en un seul mot, et Pomerand a corrigé son adresse : « 29 rue de Buci », puis « chez Monseiur Boubal 172 Bvd St Germain », et enfin « 26 rue St Benoît ». On joint une photocopie du tapuscrit, montée sur de grands feuillets de papier vélin en 11 cahiers, paginés au verso.
Gabriel POMERAND. Manuscrit autographe, et tapuscrit avec additions autographes, Petit imprécis de l’Imperfection ou l’art d’apprécier l’ignorance, 1950 ; 8 pages in-4, et 53 pages in-4 sous couverture cartonnée et titrée. Manuscrit d’aphorismes et tapuscrit de travail avec de nombreuses additions de ce texte inédit, proposé à Pierre Seghers, qui, le 9 juin 1950, refusa de le publier [Letaillieur p. 61]. Le tapuscrit est daté en fin « Au Caire, Janvier 1950 ». Le manuscrit, à l’encre noire, est intitulé « Notes marginales pour le petit imprécis de l’imperfection ». La page 2 est écrite au verso d’un dessin au crayon annoté et signé « Philippe ». Ces 63 aphorismes ont été pointés et biffés légèrement au crayon après insertion dans le tapuscrit. Citons-en quelques-uns : « L’abracadabrant n’est que la chance de la conversion » ; « Les avortés de la pensée s’appellent des philosophes » ; « Je ne m’amuse jamais. J’écris » ; « Je me drogue de mots jusqu’à me croire franc » ; « Je me branle avec des lettres, mais je me l’avoue » ; « L’ambulance de mon corps est noire comme si elle sortait de la guerre. Le blessé qu’elle porte, c’est moi, cahin-caha »… Le tapuscrit est paginé au dos des feuillets. Outre quelques corrections, il présente 65 additions autographes à l’encre rouge, aphorismes notés la plupart dans les marges, onze comme sous-titres des chapitres, et deux signés « J.B. » inscrits au début et à la fin du texte : « Au fond, est-ce le moi qui est haïssable, ou bien est-ce le vôtre » et « Je préfère mes défauts à votre approbation » Sur la page de titre, « im-précis » a été corrigé en un seul mot, et Pomerand a corrigé son adresse : « 29 rue de Buci », puis « chez Monseiur Boubal 172 Bvd St Germain », et enfin « 26 rue St Benoît ». On joint une photocopie du tapuscrit, montée sur de grands feuillets de papier vélin en 11 cahiers, paginés au verso.
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