Joseph Dorffmeister Ödenbourg, 1764 - (?), avant 1814 Deux enfants avant le bal Toile Signée et datée 'Joseph Dorffmeister / 1797' à gauche Hauteur : 114 Largeur : 84 cm Commentaire : Fils du peintre hongrois, Stephan Dorffmeister Joseph Dorffmeister est élève à l'Académie de Vienne. Il devient membre en 1803 de l'Académie de Gênes où il travaille à des fresques, notamment sur le thème du Génie de la Musique, au Casino Di Negro. Daté de 1797, notre double portrait peut être mis en rapport avec la paire de portraits représentant 'Ferdinand III, l'archiduc d'Autriche et son épouse, Marie-Amelie Thérèse de Bourbon' (toile, 115 x 95 cm, Vienne, Kunsthistorisches Museum) datée de la même année. Dans notre tableau tout comme dans ces deux portraits, Dorffmeister a insisté sur les regards et le rendu des détails. Cependant, le cadrage serré de notre composition, malgré la vue en pied, tout comme le geste familier des enfants, donne une dimension plus intime à notre portrait. L'embrassade des deux enfants est une allusion à la continuité de leur dynastie ; la plus grande a le regard fièrement tourné vers le spectateur quand le plus petit la regarde, tous les deux conscients de leurs propres rôles. La rose à terre symbolise la vanité de la vie.
Joseph Dorffmeister Ödenbourg, 1764 - (?), avant 1814 Deux enfants avant le bal Toile Signée et datée 'Joseph Dorffmeister / 1797' à gauche Hauteur : 114 Largeur : 84 cm Commentaire : Fils du peintre hongrois, Stephan Dorffmeister Joseph Dorffmeister est élève à l'Académie de Vienne. Il devient membre en 1803 de l'Académie de Gênes où il travaille à des fresques, notamment sur le thème du Génie de la Musique, au Casino Di Negro. Daté de 1797, notre double portrait peut être mis en rapport avec la paire de portraits représentant 'Ferdinand III, l'archiduc d'Autriche et son épouse, Marie-Amelie Thérèse de Bourbon' (toile, 115 x 95 cm, Vienne, Kunsthistorisches Museum) datée de la même année. Dans notre tableau tout comme dans ces deux portraits, Dorffmeister a insisté sur les regards et le rendu des détails. Cependant, le cadrage serré de notre composition, malgré la vue en pied, tout comme le geste familier des enfants, donne une dimension plus intime à notre portrait. L'embrassade des deux enfants est une allusion à la continuité de leur dynastie ; la plus grande a le regard fièrement tourné vers le spectateur quand le plus petit la regarde, tous les deux conscients de leurs propres rôles. La rose à terre symbolise la vanité de la vie.
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