Marque: MG Modèle: A Twin Cam Carrosserie: cabriolet, 2 places Moteur: avant, 4 cylindres en ligne Cylindrée: 1 489 cm3 Puissance: 107 ch Vitesse maximale: 200 km/h Production: 1 211 exemplaires MG était passée sous contrôle de la BMC (British Motor Corporation) après la seconde guerre. Son président, Leonard Lord (1896-1967) favorisa sa marque préférée Austin en développant les Austin-Healey, n'avalisant le renouvellement de la gamme MG qu'en 1954 pour remplacer les très vieillissantes MG TF dont l'origine remontait à 1936. La nouvelle MG sera conçue en seulement 10 mois, à partir d'un prototype que le styliste et ingénieur en chef Sydney Enever (1906-1993), avait conçu pour les 24 heures du Mans 1951 sur la base de la MG TD. Il conçoit un nouveau châssis surbaissé, plus large qui va permettre d'offrir une carrosserie plus basse et plus aérodynamique, qui recevra le moteur quatre cylindres culbuté de 1 489 cm3 de 72 ch, moins haut que les autres moteurs MG. La nouvelle MGA est présentée à l'Automne 1955. L'ensemble boîte-moteur est issu de la berline Magnette et la voiture dispose d'un essieu arrière rigide avec suspension avant à doubles triangulations montée sur pivots avec amortisseurs à leviers faisant office de triangles supérieurs. Le freinage est assuré par quatre freins à tambour hydraulique. La MGA dépasse les 150 km/h, concurrençant directement les Triumph TR3 et Austin-Healey 100. Le plus frappant est sa carrosserie, moderne et élégante qui en fait l'un des plus jolis roadsters de l'époque. Le tableau de bord, très sportif est en tôle peinte, selon la tradition de l'époque, sans frivolité. C'est un succès, plus de 2 000 MGA sont vendues la première année, la plupart aux États-Unis. C'est au Salon de Turin en octobre 1957 qu'est dévoilé le coupé. Il ressemble à une MGA roadster dotée d'un hard top. Le petit toit tout arrondi avec sa large lunette arrière lui confère un charme indéniable et, surtout une meilleure aérodynamique, car malgré son pare-brise plus haut, le coupé offre des performances légèrement supérieures à celles du roadster. Il dispose de vitres remontantes et offre un meilleur confort que le roadster. En 1958, apparaîtra la version Twin Cam (double arbre à cames) de 107 ch, équipée cette fois de quatre freins à disque Dunlop et capable d'atteindre les 200 km/h. Il n'en sera construit que 1 211 (coupé et roadster confondus), sa fragilité mettant fin à sa carrière. Pourtant une version fastback remporta la classe 2 litres aux 24 Heures du Mans 1960 et Phil Hill atteindra 403 km/h en 1959 sur la voiture de record profilée EX 181 à moteur Twin Cam de 1 506 cm3 ! En 1959 apparaît la MGA 1600 MkI (1 588 cm3/80 ch). Ce sera une année record avec 23 319 unités vendues. En 1961, la MkII (1622 cm3/93 ch) tente de résister à l'arrivée de la Triumph TR4. Elle se reconnaît à sa grille de calandre en retrait et ses feux arrière horizontaux. Sur les quelques 100 000 exemplaires produits de MGA tous types confondus, plus de 95 000 ont été exportés ! On dénombre seulement un peu moins de 10 000 coupés construits entre la fin 1957 et 1962, ce qui en fait un modèle particulièrement rare. La MGA Twin Cam est sûrement la plus rare et la plus recherchée des MGA, surtout lorsqu'il s'agit d'un modèle authentique, comme celui-ci, disposant de son certificat d'authenticité attestant de son statut Twin Cam d'origine. La voiture se présente dans sa typique livrée rouge MG avec un bel intérieur en cuir noir. Sa capote noire en parfait état a été refaite. Elle est équipée de ses typique roues Dunlop à trous conformes à l'origine. Elle a été entièrement restaurée en Angleterre par des spécialistes il y a moins de dix ans et sa restauration est entièrement documentée. Elle est proche de ce qu'on appelle un «état concours». Sa très belle mécanique a été restaurée selon les soins exigeants que demande son pedigree. Elle a fait l'objet d'un article dans le numéro de juillet 2018 d'AutoPlus. Cette grande classique britannique mérite une
Marque: MG Modèle: A Twin Cam Carrosserie: cabriolet, 2 places Moteur: avant, 4 cylindres en ligne Cylindrée: 1 489 cm3 Puissance: 107 ch Vitesse maximale: 200 km/h Production: 1 211 exemplaires MG était passée sous contrôle de la BMC (British Motor Corporation) après la seconde guerre. Son président, Leonard Lord (1896-1967) favorisa sa marque préférée Austin en développant les Austin-Healey, n'avalisant le renouvellement de la gamme MG qu'en 1954 pour remplacer les très vieillissantes MG TF dont l'origine remontait à 1936. La nouvelle MG sera conçue en seulement 10 mois, à partir d'un prototype que le styliste et ingénieur en chef Sydney Enever (1906-1993), avait conçu pour les 24 heures du Mans 1951 sur la base de la MG TD. Il conçoit un nouveau châssis surbaissé, plus large qui va permettre d'offrir une carrosserie plus basse et plus aérodynamique, qui recevra le moteur quatre cylindres culbuté de 1 489 cm3 de 72 ch, moins haut que les autres moteurs MG. La nouvelle MGA est présentée à l'Automne 1955. L'ensemble boîte-moteur est issu de la berline Magnette et la voiture dispose d'un essieu arrière rigide avec suspension avant à doubles triangulations montée sur pivots avec amortisseurs à leviers faisant office de triangles supérieurs. Le freinage est assuré par quatre freins à tambour hydraulique. La MGA dépasse les 150 km/h, concurrençant directement les Triumph TR3 et Austin-Healey 100. Le plus frappant est sa carrosserie, moderne et élégante qui en fait l'un des plus jolis roadsters de l'époque. Le tableau de bord, très sportif est en tôle peinte, selon la tradition de l'époque, sans frivolité. C'est un succès, plus de 2 000 MGA sont vendues la première année, la plupart aux États-Unis. C'est au Salon de Turin en octobre 1957 qu'est dévoilé le coupé. Il ressemble à une MGA roadster dotée d'un hard top. Le petit toit tout arrondi avec sa large lunette arrière lui confère un charme indéniable et, surtout une meilleure aérodynamique, car malgré son pare-brise plus haut, le coupé offre des performances légèrement supérieures à celles du roadster. Il dispose de vitres remontantes et offre un meilleur confort que le roadster. En 1958, apparaîtra la version Twin Cam (double arbre à cames) de 107 ch, équipée cette fois de quatre freins à disque Dunlop et capable d'atteindre les 200 km/h. Il n'en sera construit que 1 211 (coupé et roadster confondus), sa fragilité mettant fin à sa carrière. Pourtant une version fastback remporta la classe 2 litres aux 24 Heures du Mans 1960 et Phil Hill atteindra 403 km/h en 1959 sur la voiture de record profilée EX 181 à moteur Twin Cam de 1 506 cm3 ! En 1959 apparaît la MGA 1600 MkI (1 588 cm3/80 ch). Ce sera une année record avec 23 319 unités vendues. En 1961, la MkII (1622 cm3/93 ch) tente de résister à l'arrivée de la Triumph TR4. Elle se reconnaît à sa grille de calandre en retrait et ses feux arrière horizontaux. Sur les quelques 100 000 exemplaires produits de MGA tous types confondus, plus de 95 000 ont été exportés ! On dénombre seulement un peu moins de 10 000 coupés construits entre la fin 1957 et 1962, ce qui en fait un modèle particulièrement rare. La MGA Twin Cam est sûrement la plus rare et la plus recherchée des MGA, surtout lorsqu'il s'agit d'un modèle authentique, comme celui-ci, disposant de son certificat d'authenticité attestant de son statut Twin Cam d'origine. La voiture se présente dans sa typique livrée rouge MG avec un bel intérieur en cuir noir. Sa capote noire en parfait état a été refaite. Elle est équipée de ses typique roues Dunlop à trous conformes à l'origine. Elle a été entièrement restaurée en Angleterre par des spécialistes il y a moins de dix ans et sa restauration est entièrement documentée. Elle est proche de ce qu'on appelle un «état concours». Sa très belle mécanique a été restaurée selon les soins exigeants que demande son pedigree. Elle a fait l'objet d'un article dans le numéro de juillet 2018 d'AutoPlus. Cette grande classique britannique mérite une
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