MASERATI Bora 4,7 Châssis n°AM 117/840 TCE Même avec le succès de l'extraordinaire Ghibli, Maserati ne pouvait pas rester insensible aux berlinettes à moteur central arrière. C'est en 1971, au salon de Genève, qu'est dévoilée la Bora qui finira par remplacer la Ghibli. Stricte deux places, son sublime dessin est dû au bureau de style Ital Design, avec le célèbre coup de crayon Giorgetto Giugiaro. Après avoir fait ses classes chez Bertone entre 1959 et 1965, Giugiaro entra chez Ghia avant de fonder son bureau d'étude en 1968. Ce designer sera élu fin 1999 « car designer of the century » par un jury composé de 132 journalistes venant de 33 pays. On lui doit notamment la Ghibli, l'Iso Grifo, la Mangusta, l'Alfa coupé « Bertone », la De Lorean et la VW Golf. Comme la Mistral ou la Ghibli, le nouveau modèle est baptisé du nom d'un vent. Avec la Bora, le maître Giugiaro signe un chef d'oeuvre, qui est considérée comme l'une des plus belles GT italiennes de l'époque 70/80. Trapue, courte, basse, sans porte-à-faux, le dessin de la Bora est un exercice de style réussi. Original, le pavillon est en inox brossé. Le moteur est le beau V8 Maserati de 4,7 L à 4 arbres à cames en tête et 310 cv. Les prestations étaient de tout premier ordre avec 280 km/h en vitesse de pointe (presque partout à l'époque mais maintenant en Allemagne seulement). Le freinage était à la hauteur des performances grâce au système Citroën. La Maserati Bora 4,7 L n'a été fabriquée qu'à 289 exemplaires seulement. L'exemplaire présenté est une première main de 1976 comme l'indique son titre de circulation. Son intérieur en cuir rouge d'origine s'associe merveilleusement bien à l'élégant gris-argent métallisé de la peinture. Le tableau est très complet et bien dessiné avec une console en retour pour le pilote. La direction, le siège et le pédalier peuvent s'ajuster très simplement. Vitres électriques et climatisation complètent l'équipement. Après une immobilisation pendant plus de vingt ans dans un musée, notre Bora a subi récemment une grande révision chez un spécialiste pour plus de 5500. La voiture a parcouru cet été près de 1500 km sans problème. C'est une voiture très agréable à conduire. Tous les essais de l'époque le confirment la Bora est une excellente voiture, rapide, silencieuse, confortable et facile à conduire, elle permettait de rouler à 240 km/h tout écoutant la radio, ce qu'une Miura ne propose pas. La Boomerang (célèbre étude de style de Giugiaro), est issue de la Maserati Bora. Cette sculpture roulante est opérationnelle et fait le bonheur d'un collectionneur français. Avec une ligne magnifique « typée » année '70 et une mécanique noble, cette belle Bora trouvera une place de choix dans une belle collection. Ce que sa ligne suggère, la voiture le fait
MASERATI Bora 4,7 Châssis n°AM 117/840 TCE Même avec le succès de l'extraordinaire Ghibli, Maserati ne pouvait pas rester insensible aux berlinettes à moteur central arrière. C'est en 1971, au salon de Genève, qu'est dévoilée la Bora qui finira par remplacer la Ghibli. Stricte deux places, son sublime dessin est dû au bureau de style Ital Design, avec le célèbre coup de crayon Giorgetto Giugiaro. Après avoir fait ses classes chez Bertone entre 1959 et 1965, Giugiaro entra chez Ghia avant de fonder son bureau d'étude en 1968. Ce designer sera élu fin 1999 « car designer of the century » par un jury composé de 132 journalistes venant de 33 pays. On lui doit notamment la Ghibli, l'Iso Grifo, la Mangusta, l'Alfa coupé « Bertone », la De Lorean et la VW Golf. Comme la Mistral ou la Ghibli, le nouveau modèle est baptisé du nom d'un vent. Avec la Bora, le maître Giugiaro signe un chef d'oeuvre, qui est considérée comme l'une des plus belles GT italiennes de l'époque 70/80. Trapue, courte, basse, sans porte-à-faux, le dessin de la Bora est un exercice de style réussi. Original, le pavillon est en inox brossé. Le moteur est le beau V8 Maserati de 4,7 L à 4 arbres à cames en tête et 310 cv. Les prestations étaient de tout premier ordre avec 280 km/h en vitesse de pointe (presque partout à l'époque mais maintenant en Allemagne seulement). Le freinage était à la hauteur des performances grâce au système Citroën. La Maserati Bora 4,7 L n'a été fabriquée qu'à 289 exemplaires seulement. L'exemplaire présenté est une première main de 1976 comme l'indique son titre de circulation. Son intérieur en cuir rouge d'origine s'associe merveilleusement bien à l'élégant gris-argent métallisé de la peinture. Le tableau est très complet et bien dessiné avec une console en retour pour le pilote. La direction, le siège et le pédalier peuvent s'ajuster très simplement. Vitres électriques et climatisation complètent l'équipement. Après une immobilisation pendant plus de vingt ans dans un musée, notre Bora a subi récemment une grande révision chez un spécialiste pour plus de 5500. La voiture a parcouru cet été près de 1500 km sans problème. C'est une voiture très agréable à conduire. Tous les essais de l'époque le confirment la Bora est une excellente voiture, rapide, silencieuse, confortable et facile à conduire, elle permettait de rouler à 240 km/h tout écoutant la radio, ce qu'une Miura ne propose pas. La Boomerang (célèbre étude de style de Giugiaro), est issue de la Maserati Bora. Cette sculpture roulante est opérationnelle et fait le bonheur d'un collectionneur français. Avec une ligne magnifique « typée » année '70 et une mécanique noble, cette belle Bora trouvera une place de choix dans une belle collection. Ce que sa ligne suggère, la voiture le fait
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