Richard Parkes BONINGTON (près de Nottingham 1802 –Londres 1828) Un montage avec dix vignettes : études de femme aux chapeaux Lavis brun sur traits de crayon noir et crayon noir 13 x 10 ;12x12 ;10x9 ;6x10 ;15x10 ;12,5x10 ;11,5 x11 ;10x16 ;9x12 ;12,5x9,5cm Dimensions du montage : 32 x 60 cm Chaque vignette est légendée dans le bas au crayon noir : « béret de velours noir, chapeau à la Trocadéro, pèlerine d’organdi, robe à la missionnaire, bonnet négligé en gaze… Insolé, rousseurs et petite déchirure sur l’une d’elles Provenance : envoyé par Bonington à Mme Perrier à Dunkerque, puis par descendance Madame Perrier demande à Bonington de lui envoyer, en 1824, des exemples des tendances vestimentaires parisiennes pour elle et ses filles. Dans une lettre du 3 décembre 1824 à Mme Perrier (perdue mais connue par une transcription à la Bibliothèque Nationale de France), Bonington mentionne passer du temps dans les magasins à étudier la mode. Dans une autre lettre du 31 décembre (perdue mais aussi connue par une transcription à la Bibliothèque Nationale de France), Bonington écrit qu’il va envoyer les dessins. Nous remercions M. Noon de nous avoir aimablement confirmé l’authenticité de ce dessin d’après une photographie, et pour les informations afférentes.
Richard Parkes BONINGTON (près de Nottingham 1802 –Londres 1828) Un montage avec dix vignettes : études de femme aux chapeaux Lavis brun sur traits de crayon noir et crayon noir 13 x 10 ;12x12 ;10x9 ;6x10 ;15x10 ;12,5x10 ;11,5 x11 ;10x16 ;9x12 ;12,5x9,5cm Dimensions du montage : 32 x 60 cm Chaque vignette est légendée dans le bas au crayon noir : « béret de velours noir, chapeau à la Trocadéro, pèlerine d’organdi, robe à la missionnaire, bonnet négligé en gaze… Insolé, rousseurs et petite déchirure sur l’une d’elles Provenance : envoyé par Bonington à Mme Perrier à Dunkerque, puis par descendance Madame Perrier demande à Bonington de lui envoyer, en 1824, des exemples des tendances vestimentaires parisiennes pour elle et ses filles. Dans une lettre du 3 décembre 1824 à Mme Perrier (perdue mais connue par une transcription à la Bibliothèque Nationale de France), Bonington mentionne passer du temps dans les magasins à étudier la mode. Dans une autre lettre du 31 décembre (perdue mais aussi connue par une transcription à la Bibliothèque Nationale de France), Bonington écrit qu’il va envoyer les dessins. Nous remercions M. Noon de nous avoir aimablement confirmé l’authenticité de ce dessin d’après une photographie, et pour les informations afférentes.
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