SAVARY (Général Jean Marie René, duc de Rovigo, 1774 – 1833, Général, ministre de la police de 1810 à 1814). Lettre de la main d'un secrétaire adressée à Mr. Le comte Boissy d'Anglas, sénateur : "Police Générale, 1ere division, Paris le 3 mars 1814… J'ai reçu la lettre du 24 du mois passé au sujet du prisonnier français débarqué sur la côte des Sables et chargé d'imprimés qui lui avaient été remis par les anglais…" Savary précise à Boissy d'Anglas que c'est un moyen fréquent "employé par l'ennemi pour introduire et propager des libellés". Il défend ensuit le commissaire de police des Sables qui, selon lui, a parfaitement fait son travail. Belle et intéressante lettre avec signature autographe "Le duc de Rovigo". On y ajoute une L.A.S. de Savary adressée à Monsieur Frédéric de Bachet, chevalier de St. Louis à Gratz en Styrie : "Paris, le 17 octobre 1820, C'est à ma rentrée en ville…" Longue lettre autographe parlant de ses domaines pillés en son absence (1816-1819) et remis en état… Viennent ensuite de longues considérations désabusées sur l'air du temps et la lassitude générale des Français. Longue lettre écrite rapidement et difficile à lire. Une traduction manuscrite y est jointe. On ajoute aussi la fin d'un petit mot manuscrit et signé Savary et un petit mot autographe signé de Boissy d'Anglas.
SAVARY (Général Jean Marie René, duc de Rovigo, 1774 – 1833, Général, ministre de la police de 1810 à 1814). Lettre de la main d'un secrétaire adressée à Mr. Le comte Boissy d'Anglas, sénateur : "Police Générale, 1ere division, Paris le 3 mars 1814… J'ai reçu la lettre du 24 du mois passé au sujet du prisonnier français débarqué sur la côte des Sables et chargé d'imprimés qui lui avaient été remis par les anglais…" Savary précise à Boissy d'Anglas que c'est un moyen fréquent "employé par l'ennemi pour introduire et propager des libellés". Il défend ensuit le commissaire de police des Sables qui, selon lui, a parfaitement fait son travail. Belle et intéressante lettre avec signature autographe "Le duc de Rovigo". On y ajoute une L.A.S. de Savary adressée à Monsieur Frédéric de Bachet, chevalier de St. Louis à Gratz en Styrie : "Paris, le 17 octobre 1820, C'est à ma rentrée en ville…" Longue lettre autographe parlant de ses domaines pillés en son absence (1816-1819) et remis en état… Viennent ensuite de longues considérations désabusées sur l'air du temps et la lassitude générale des Français. Longue lettre écrite rapidement et difficile à lire. Une traduction manuscrite y est jointe. On ajoute aussi la fin d'un petit mot manuscrit et signé Savary et un petit mot autographe signé de Boissy d'Anglas.
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